Monaco
Caroline: l’inquiétude pour Ernst August
5/10/16
Ils ont beau être séparés depuis sept ans, cela n’empêche pas la princesse Caroline de Monaco d’être folle d’inquiétude. Nul ne sait, à part elle, si elle a encore des sentiments à l’égard de son mari, le prince Ernst August V de Hanovre. Mais une chose est sûre: il est le père de sa fille Alexandra. Rien que pour cela, Caroline n’est pas rassurée. C’est peut-être ce qui l’a poussée il y a quelques mois à quitter son Rocher monégasque pour lui rendre visite en personne sur son lieu d’exil, en Autriche, en compagnie de sa fille. Mais visiblement cette visite n’a pas eu l’effet escompté…
La descente aux enfers
Depuis octobre 2014, Ernst August n’est plus apparu en public. Fin janvier de cette année, on s’attendait à le voir assister aux obsèques de la princesse Eilika de Leiningen. Les Leiningen (ou Linanges) sont une prestigieuse famille princière allemande remontant au Saint-Empire romain germanique. Las, Ernst August a préféré envoyer ses deux fils, Ernst August Jr (33 ans) et Christian (31) représenter la Maison royale de Hanovre. Âgé de 62 ans, Ernst August a renoncé à tout. Pour rappel, il est quand même le chef de la plus ancienne maison ducale d’Europe, arrière-petit-fils de l’empereur allemand et roi de Prusse Guillaume II, cousin de l’actuelle reine d’Angleterre et apparenté avec la plupart des monarchies européennes. Mais Ernst August a prématurément abandonné sa Basse-Saxe natale, son fief, le duché de Brunswick et de Lunebourg, et la gestion des affaires familiales à son fils aîné. Il a tout quitté pour vivre en reclus, en exil permanent à Auerbach, un modeste pavillon de chasse entouré de 5.000 hectares de forêts que la famille de Hanovre possède à Gmunden, en Haute-Autriche, près de la localité de Grünau. Au village, dont une maison sur cinq appartient au Prince, les habitants vénèrent Ernst August qui, autrefois, le leur rendait bien, n’étant jamais le dernier à lever sa chope de bière à la santé de ses amis. Mais là-bas aussi on est inquiet. Ernst August ne s’est plus montré depuis deux ans. Il ne sort plus de son domaine. Et presque personne n’y entre. On le dit très malade. On le dit dépressif chronique. On le dit alcoolique fini. Depuis que sa dernière compagne, Simona, une ex-prostituée de 34 ans sa cadette, a fait ses valises – c’était en octobre de l’année dernière–, Ernst-August vit en ermite, en isolement complet. Il a licencié une grande partie du personnel qui travaillait sur le domaine. Si l’on excepte ses chiens, Ernst August n’a plus, pour seule compagne, que la dive bouteille. Une vieille amie, qu’il courtise depuis des décennies et qui lui a déjà joué des sales tours…
Pour compagnons, ses chiens et… la bouteille
Pour rappel, en avril 2005, la semaine même où les Monégasques perdaient leur Prince Souverain Rainier III, le prince Ernst August était hospitalisé d’urgence et placé en réanimation pour une pancréatite aiguë. Bien connu pour ses excès de table, il buvait, chuchotait-on à l’époque, un litre de whisky par jour. Cinq ans plus tôt, il avait déjà été hospitalisé suite à un malaise lors d’une soirée de gala dans un château en Allemagne. Et personne n’a oublié cette photo volée du prince, visiblement chargé et pris en train d’uriner sur la façade du pavillon turc à l’exposition universelle de Hanovre en 2000. Ernst August, ce sont aussi les violences et les procès pour coups et blessures, comme les deux petites claques échangées avec ce patron de night-club au Kenya, qui lui ont valu d’être condamné à 445.000 euros en première instance. Caroline avait même témoigné pour lui devant la justice. Car, il a beau être sanguin et colérique, Ernst August s’est toujours montré affectueux et prévenant envers celle qui reste toujours son épouse et probablement le plus grand amour de sa vie (lire par ailleurs). Cela ne l’a pas empêché d’avoir des maîtresses et de s’afficher notamment avec Maryam Sachs, la bru du photographe et play-boy multimillionnaire Gunter Sachs. Le couple se sépare en septembre 2009. Mais si Caroline ne porte plus son alliance, elle reste mariée à Ernst August et conserve son titre de princesse de Hanovre et son prédicat d’Altesse Royale. Peut-être pour le bien de leur fille commune, la princesse Alexandra, née le 20 juillet 1999, six mois après leur mariage. En 2009, Caroline rentre donc à Monaco avec Alexandra dans ses bagages. Ernst August se partage, quant à lui, entre l’Allemagne, les plages méditerranéennes et le Kenya, multipliant les conquêtes. La dernière en date, c’est Simona, qu’il rencontre en 2010 et avec qui il vivra pendant cinq ans. La jeune femme, de 22 ans à l’époque, est une danseuse de night-club roumaine, mannequin de lingerie sexy pour le compte d’une chaîne de strip-clubs autrichiens, plus à l’aise pour lever la cuisse que faire la révérence.
Il a perdu son meilleur ami, sa petite amie et… son frère!
Flirtant, à l’été 2014 sur une terrasse de café d’Ibiza, pour le plus grand bonheur des paparazzis, le couple est encore vu en octobre lors d’un vernissage chez un joaillier connu en Autriche. Orfèvre chez qui Ernst August avait d’ailleurs acheté un bijou pour Caroline! Élégance… Ernst August et Simona sont encore surpris en train de festoyer, avec forces chopes de bière, dans une brasserie locale. Puis plus rien. Car Ernst August va mal. En juillet 2014, il a perdu un ami très cher, Lars Korschen, des suites d’un cancer. L’homme, ami des jet-setters, tenait l’hôtel Peponi sur l’île de Lamu au Kenya, île où Ernst August possède lui-même une résidence de vacances. Et ils avaient le même âge! Le prince de Hanovre ne se remet pas de cette disparition et sombre dans une profonde mélancolie. À tel point que même Simona finit par le quitter. Depuis, selon le magazine Bunte, la mélancolie s’est transformée en dépression pour le Prince qui avait déjà eu la douleur de perdre un frère. En 1988, en effet, le prince Ludwig Rudolph, d’un an son cadet, découvre le corps sans vie de son épouse au cours d’une soirée dans la villa royale de Gmunden. Elle est morte d’une overdose. Quelques heures plus tard, Ludwig est retrouvé non loin de là au volant de sa voiture, dont le moteur tourne toujours, le canon d’un fusil dans la bouche et le crâne explosé. Il s’est suicidé. C’était sur une rive du lac Traun, juste à côté du pavillon de chasse devenu aujourd’hui le refuge d’Ernst August…
Le mariage de la dernière chance…
C’est dire si Caroline est inquiète. En février dernier, on l’a aperçue entrer dans le domaine autrichien à bord d’une voiture en compagnie d’Alexandra. Selon Bunte, la Princesse ferait tout son possible pour sortir le père de sa fille de ce mauvais pas. Sans beaucoup d’effets jusqu’à présent, visiblement. Pour le voir enfin quitter sa tanière, les proches fondent maintenant beaucoup d’espoir dans le prochain mariage, à l’été 2017, d’Ernst August Jr, le fils aîné du Prince de Hanovre. Il est fiancé avec une beauté russe. À défaut de son père, Junior est devenu la coqueluche de la presse écrite et télévisée allemande. Son père lui a légué de son vivant la gestion des affaires familiales, la fondation Duc de Cumberland basée au Lichtenstein, ainsi que les biens immobiliers tant autrichiens qu’allemands de la famille, dont notamment l’impressionnant château de Marienburg, fief de la Maison royale de Hanovre, situé à 20 km de la ville éponyme, qui accueille plusieurs centaines de milliers de touristes par an. Ernst August Jr vient d’ailleurs de remporter un bras de fer face aux autorités régionales, à qui il demandait un soutien pécuniaire pour gérer ce château en forme de gouffre financier. À défaut, il menaçait de le fermer au public ou de le vendre. Ce n’est pas que la famille soit sur la paille: en 2012, son père figurait encore au milieu du classement des 500 Allemands les plus riches, avec un actif de quelque 400 millions d’euros. Mais les affaires sont les affaires… Cependant, son père n’est désormais plus du tout capable de les mener à bien si l’on en croit une interview que Junior a donnée à la télé allemande. Vivement la noce, se disent donc les aficionados de la famille royale allemande. Si le Prince tient jusque-là…
Monaco: qui sont les parrains et marraines des jumeaux?
7/05/15
Le prince Albert et la princesse Charlène vont procéder dimanche au baptême de leurs jumeaux, le prince Jacques et la princesse Gabriella. Découvrez qui ils ont choisi pour parrains et marraines…
Le baptême des Enfants Princiers du prrince Albert II et de la princesse Charlène, à savoir le prince héréditaire Jacques et la princesse Gabriella sera célébré lors d’une cérémonie religieuse ce dimanche 10 mai à 10h30 en la cathédrale de Monaco en présence des membres de la Famille princière et de la famille Wittstock. Le Palais vient de communiquer qui le couple princier a choisi pour parrains et marraines des jumeaux.
Les parrain et marraine du petit Jacques sont Christopher Le Vine Jr et Diane de Polignac Nigra. Christopher est le cousin germain du prince Albert, du côté de sa mère, Grace Kelly. Grand ami du Souverain, il fut aussi son témoin lors de son mariage en juillet 2011. La princesse Gabriella, quant à elle, recevra dimanche pour marraine la sud-Africaine Nerine Pienaar, une proche de la princesse Charlène qui est aussi l’épouse de François Pienaar, ex-capitaine de l’equipe de rugby d’Afrique du Sud qu’il mena à la victoire mondiale en 1995. Le parrain de la princesse sera Gareth Wittstock, le frère cadet de la princesse Charlène.
La population monégasque pourra suivre la cérémonie religieuse depuis la place du Palais où un écran géant aura été installé. A midi, à l’issue de la messe, la population pourra acclamer le Couple Princier qui regagnera à pieds le Palais par la Rue Bellando de Castro, entouré par des groupes folkloriques monégasques et provençaux. La cérémonie religieuse sera retransmise à la télévision dans son intégralité sur la chaîne Monaco Info, en streaming sur Monaco Channel (www.monacochannel.mc) et via le facebook (www.facebook.com/palaismonaco) du Palais Princier. Une cérémonie de décoration sera organisée dans le salon des glaces où le Prince Héréditaire sera nommé Grand-Croix dans l’Ordre de Grimaldi et la princesse Gabriella Grand Officier dans l’Ordre de Grimaldi. Les parrain et marraine du prince Jacques seront nommés officiers dans l’Ordre de Saint-Charles et ceux de la princesse Gabriella seront nommés officiers dans l’Ordre de Grimaldi.
Le prince Albert de Monaco et “Les Amants du Rocher”
5/05/15
Le show monumental se concocte à Montréal, la capitale mondiale du cirque. Le Souverain a assisté aux premières répétitions en compagnie de Garou
Surgissant de la pénombre au rythme d’une onirique mélopée, des anges touchés par la grâce prennent leur envol pour virevolter en tous sens, d’un unique et harmonieux mouvement, arrimés à leurs voiles comme le prisonnier à son drap au moment de s’évader de sa geôle. Ce premier tableau tout en élégance et en poésie nous invite justement à nous évader de la réalité pour voyager vers un certain Rocher, Monaco, théâtre magnifique d’une grande histoire d’amour. Celle de François qui découvre son Agnès, sa mie, sa tendre moitié dans un décor féerique rappelant l’âge d’or de la Principauté, ces mythiques années 60, à l’ombre d’une silhouette célébrissime, celle de la princesse Grace. François qui apparaît soudain, bondissant de l’esquisse d’un palais princier, entouré de carabiniers aux couleurs de la Principauté, avant de tourner et de tourner encore dans sa Roue Cyr, beau et majestueux comme l’Homme de Vitruve de Léonard de Vinci, tout droit sorti des planches à dessin du génial inventeur pour marquer la scène de son empreinte. La Roue Cyr, c’est justement la marque de fabrique, la spécialité du Cirque Eloize ! Elle a été inventée par Daniel Cyr, l’un des fondateurs de cette troupe québécoise similaire au Cirque du Soleil. Ces deux compagnies sont à l’art du cirque ce que la Formule 1 est à l’automobile : superlativement grandioses ! Le Cirque Eloize a tourné dans 45 pays et plus de 450 villes. Au premier rang des quelques rares spectateurs privilégiés, une figure familière goûte ces toutes premières répétitions d’un ambitieux spectacle programmé pour dans six mois : “Monaco ou les amants du Rocher”, la 11e production de la compagnie. Le prince Albert II de Monaco croit beaucoup en cette superproduction de huit millions d’euros, un show monumental mêlant danse, théâtre, numéros de cirque et effets spéciaux, un spectacle qui va faire rayonner sa Principauté dans le monde. À ses côtés, le chanteur canadien Garou ne boude pas non plus son plaisir. Il participe au projet. Certes, il ne sera pas le héros de l’aventure, mais bien sa voix intérieure, sa conscience, le reflet de son âme.
Des danseurs, des acrobates… et Garou
Le Prince Souverain a fait un rapide saut à Montréal pour découvrir les premiers pas concrets du spectacle, dans les ateliers mêmes du Cirque Eloize, la gare Dalhouzie, une ancienne station de chemin de fer située dans le Vieux-Montréal et qui fut, jadis, le point de départ du tout premier train à destination de Vancouver, là-bas en Colombie-Britannique, à l’autre bout de l’immense Canada. Montréal, c’est vraiment la capitale mondiale du cirque. La métropole a aménagé une véritable cité de ces arts multidisciplinaires (acrobaties, danse, théâtre physique et cirque bien sûr), à travers son École Nationale de Cirque, de réputation mondiale, mais aussi du quartier général du Cirque du Soleil. Moins connu chez nous, le Cirque Eloize est une autre de ces institutions, de même envergure dans la Belle Province. Pour l’heure, non loin des rives du Saint-Laurent, dans le studio de création montréalais, toute l’équipe de concepteurs du spectacle est réunie pour présenter au Prince un aperçu des différents tableaux du show en préparation, quelques extraits sonores et visuels, les premiers costumes aussi des 600 prévus<UN>! À la tête du projet, Jeannot Painchaud, cofondateur du Cirque Eloize, a réuni les plus brillants talents pour lui donner vie : Krista Monson et (le Belge) Emmanuel Guillaume à la mise en scène, Debra Brown, Wynn Holmes et Nicolas Archambault à la chorégraphie. Debra a travaillé pour Madonna, Aerosmith et le Cirque du Soleil. Nicolas fut le gagnant du “So you think you can dance” canadien… Le musicien René Dupéré (spectacle “Alegria” du Cirque du Soleil) compose la musique. Côté casting, parmi les 35 artistes en provenance de dix pays, des jeunes talents comme la belle <gao>aérialiste<gaf> Lesley Vaughn (Agnès) ou les musculeux acrobates Guillaume Juncar (François) et Alastair Davies, adeptes de la Roue Cyr. Le prince Albert II a pu assister aussi à leurs tout premiers numéros, déjà spectaculaires après seulement une dizaine de jours de répétitions en commun. Et puis il y aura Garou, non pas présent physiquement sur scène, mais au travers de sa voix préenregistrée. «Je ne pourrai être présent, car ce projet me prendrait trop de temps, mais j’ai voulu y participer quand même. Je ne raconterai pas l’histoire, mais je serai la voix intérieure du personnage principal. Je transmettrai ses états d’âme. Il y aura des chansons, mais pas une langue définie, plutôt le langage universel, fait d’anglais, de français, d’italien, créé par René Dupéré. On travaille encore dessus. J’ai plein d’idées…»
La suite de ce reportage dans “Le Soir magazine” dès ce mercredi 6 mai
Caroline de Monaco grand-mère pour la troisième fois !
14/04/15
Le fils aîné de la Princesse, Andrea Casiraghi, et son épouse Tatiana Santo Domingo viennent d’avoir un deuxième enfant. Une petite fille dont le prénom n’est pas encore connu.
Il faudra bientôt faire de la place sur le Rocher de Monaco, car dans la famille princière, les naissances se suivent à un rythme accéléré! En décembre dernier, le Prince souverain Albert et son épouse Charlène ont eu la joie d’accueillir des jumeaux: Gabriella et Jacques. Cette fois, c’est leur neveu Andrea et son épouse Tatiana Santo Domingo qui rempilent. Heureux parents d’un petit Sacha né en mars 2013, ils viennent d’accueillir, depuis ce dimanche 12 avril, une petite fille en leur foyer. Son prénom n’est pas encore connu. Il s’agit déjà du troisième petit-enfant de la princesse Caroline de Monaco, avec Raphaël, le fils de sa fille Charlotte et de l’humoriste Gad Elmaleh. Rappelons qu’Andrea et Tatiana se sont mariés en août 2013…
La fille de Caroline reine du patin
25/09/14
La princesse Alexandra de Hanovre, la fille de la princesse Caroline de Monaco, a participé à l’événement “Intimissimi” un opéra-pop version patinage artistique.
Dans les arènes de Vérone transformées pour deux soirs en vaste piste de glace, les spectateurs attentifs ont pu reconnaître parmi les patineurs du spectacle Intimissimi rien moins que la princesse Alexandra de Hanovre, la fille de la princesse Caroline de Monaco et du prince Ernst-August. Comme l’an dernier, la jeune adolescente née en 1999, patineuse émérite, a participé à cet opéra-pop sur glace, tout comme elle dispute régulièrement les compétitions junior de patinage artistique. En mars 2014, elle avait d’ailleurs remporté le 13e championnat de patinage de Monaco.
La princesse Charlène a retrouvé son arbre
30/07/14
L’arbre généalogique de la princesse du Rocher remonte à seize générations. Si Albert de Monaco a des origines irlandaises, Charlène aussi. Elle descend d’une grande famille de marchands de Dublin…
L’Ambassadeur d’Irlande en France et à Monaco, Rory Montgomery, a offert un cadeau un peu particulier à l’épouse du Souverain monégasque. Ce mardi 29 juillet, il a remis à la princesse Charlène son arbre généalogique établi sur 16 générations. Alors que les ascendances irlandaises du prince Albert II sont bien connues (sa mère, la princesse Grace était du clan Kelly), les recherches organisées par “Tourism Ireland” ont mis au jour que la princesse Charlène, née en Afrique du Sud, avait, elle aussi, des ancêtres irlandais. En effet, de par son ascendance paternelle, la sylphide altesse sérénissime appartient à la lignée des Fagan de Feltrim, une célèbre famille de marchands qui a largement contribué au développement de la ville de Dublin aux XVIe et XVIIe siècle. Qu’on se le dise…
Le prince Albert de Monaco… braguette ouverte devant la princesse Astrid !
24/01/14
Il n’est pas à l’abri d’un rhume, le Prince Souverain ! Il s’est présenté ce vendredi matin à Bruxelles devant la princesse Astrid… en ayant omis de fermer l’écoutille

La princesse Astrid et le prince Albert qui ne ferme pas le bon bouton ! (©Didier Lebrun / Photonews)
Eh oui, les grands hommes sont souvent de grands distraits ! Ce vendredi matin, le prince Albert de Monaco était de passage à Bruxelles pour un passage de flambeau. En effet, la princesse Astrid de Belgique, la soeur du Roi, a cédé aujourd’hui au Souverain monégasque la présidence d’honneur du Charitable Trust de l’Organisation européenne de la recherche contre le cancer (EORTC). Une fonction qu’elle a remplie pendant quelque 10 années “de manière fantastique”, estime le président de l’organisation, Sir Christopher Mallaby. ”J’ai agi avec mon coeur”, a répondu la Princesse. “C’est vous qui avez fait le travail le plus dur.”
À n’en pas douter, le prince Albert II s’impliquera tout autant dans cette initiative… s’il n’est pas aussi distrait que pour s’habiller. Ce matin, il s’est présenté devant toute l’assemblée, y compris la princesse Astrid et le prince Lorenz, la braguette défaite ! Bons princes, ces derniers ont fait semblant de ne rien remarquer, comme il se doit. Nous n’en dirons pas autant des photographes à l’objectif toujours acéré et puis aux blogs comme le nôtre qui relaient cette info. Mais un petit peu d’humour sous la ceinture ne nuit jamais, n’est-ce pas ?
Bon d’accord, Son Altesse Sérénissime est un peu distraite et n’a pas pu compter sur la vigilance de son épouse, la princesse Charlène, absente malheureusement de cet événement. Et, hélas, Monseigneur n’a pas songé à cette citation d’Henri de Montherlant: “les femmes tâtent leur chignon comme les hommes tâtent leur braguette”. Mais de toute façon, que celui qui n’a jamais péché par omission de pareille manière lui jette la première fermeture-éclair ! (automatique de préférence)

La princesse Astrid et le prince Albert qui ne ferme pas le bon bouton ! (©Didier Lebrun / Photonews)
Un petit Raphaël pour Charlotte et Gad !
18/12/13
Le deuxième petit-fils de la princesse Caroline de Monaco est né dans la nuit de mardi à mercredi. Les grands-mères se portent bien, selon le Palais

Charlotte Casiraghi et Gad Elmaleh ici photographiés lors d’un Bal de la Rose qui fut l’officialisation de leur relation. © REPORTERS
C’était “la” naissance que tout le monde attendait en Principauté de Monaco, mais aussi un peu partout sur la planète people. Charlotte Casiraghi, la fille de la princesse Caroline de Monaco, et Gad Elmaleh, l’humoriste français bien connu, sont parents d’un fils depuis mardi soir. La jeune femme avait choisi le Centre hospitalier Princesse Grace pour mettre son enfant au monde.
Le communiqué du Palais princier vient de tomber, non dénué d’humour d’ailleurs… “Charlotte Casiraghi et Gad Elmaleh ont la joie de vous faire part de la naissance de leur fils, Raphaël, né à Monaco, le 17 décembre 2013. Les grands-mères se portent bien.”
Deux naissances pour la famille princière en 2013
Charlotte Casiraghi et Gad Elmaleh sont ensemble depuis deux ans. Ils avaient officialisé leur relation en apparaissant côte à côte au bal de la Rose le 23 mars 2013. C’est le deuxième petit-fils de la princesse Caroline après Sacha, fils de son aîné Andrea Casiraghi et Tatiana Santo Domingo, né en mars dernier. La famille princière s’est agrandie de deux membres rien que cette année 2013.
Soweto: le Roi au coeur d’une journée historique
10/12/13
Philippe parmi des dizaines de chefs d’État dans la tribune du Stade de Soweto, il s’est entretenu quelques instants avec Barack Obama

Philippe, au côté d’Elio Di Rupo, laisse passer le président du Conseil européen Herman Van Rompuy. (Crédit : DOPPAGNE/IMAGEGLOBE)
Il a ouvert ses portes ce matin à six heures. Le stade FNB mieux connu ici à Soweto sous le surnom de “Soccer City” se remplit surtout d’abord de journalistes. Nous sommes quelque 4.000 ici présents pour vous faire vivre les faits ou vous les raconter au mieux. Les équipes télé se sont montrées les plus acharnées pour se disputer un carré de tribune avec vue imprenable sur l’impeccable pelouse soignée comme un gazon anglais et les trois estrades géantes qui ont été dressées dessus. Les plus grandes vedettes de la NBC, d’ABC ou de CNN, sont là, tirées à quatre épingles, parfaitement maquillées, avec cet air décontracté chic qu’ont toujours les présentateurs vedettes américains. Bien sûr ces médias d’outre-Atlantique sont venus en nombre couvrir cet hommage mondial à Nelson Mandela, et pour cause, le président Barack Obama fera ici tout à l’heure à la tribune un discours très attendu, mais il n’est pas seul, Bill Clinton, George Bush Jr et Jimmy Carter ont également répondu présents. Bien sûr tous ces grands du monde sont sans doute encore en train de roupiller du sommeil du juste à leur hôtel. Pour l’heure, outre notre profession, les premiers à investir le stade sont les gens de la rue, de ce bon peuple sud-africain que Nelson Mandela chérissait tant. Ils se disposent par rangées entières d’abord sous les combles, sous la partie couverte du stade, car, malheureusement en ce jour hommage, il pleut ici comme dix jours de drache nationale belge conjugués. Le bas des gradins restera presque vide tout au long de la cérémonie, mais c’était vraiment intenable de rester sous la pluie sans protection.
Nous sommes en place, à observer tout ce qui se passe. Le temps s’égrène lentement. Dans les gradins, on l’occupe à entonner des chants magnifiques avec cet indéniable fond de tristesse qui vous vrille ces gospels au plus profond de l’âme. D’autant plus qu’ils sont tellement entraînants, comme des chants africains peuvent l’être, qu’ils laissent tout de même en prime comme une ambiance de match de foot renforcée par des coups de sifflet et des chuintements assourdissants des fameuses et si critiquées vuvuzellas qui nous assourdirent lors de la précédente coupe du monde de football en 2010.
Il n’est pas loin de 11 heures, la cérémonie est censée débuter, mais la moitié des officiels ne sont pas encore là. Notre Roi a pris place non loin de Felipe d’Espagne. Elio Di Rupo est à côté de lui. Notre Souverain est installé à l’étage juste au-dessus des médias. Son porte-parole nous le confirme: “Durant sa présence au stade, en marge de la cérémonie, le Roi a eu l’occasion de saluer et parler avec de nombreux chefs d’État, notamment le Président Obama.” Pour notre part, nous nous trouvons juste en dessous de l’ex-Premier britannique John Major, à cinq mètres du prince Haakon de Norvège et de la princesse Victoria de Suède à droite et à quinze mètres à peine de ce qui seront les places des Clinton quand ils feront leur entrée, beaucoup plus tard, alors que la cérémonie aura largement débuté.
Sur la pelouse, une immense scène accueille un orchestre et des chœurs, une autre accueille la famille et les proches de Nelson Mandela, son ex-épouse Winnie en tête, fortement acclamée. La scène principale accueille les chefs d’État qui prendront la parole comme la présidente du Brésil, Dilma Youssef, le président indien, le vice-président chinois, le secrétaire-général de l’ONU Ban Ki-Moon (lui aussi très acclamé) et le président cubain, Raoul Castro, le frère de Fidel. Lequel échangera une sympathique poignée de main avec Barack Obama lors de la venue de ce dernier sur scène pour son discours (et seulement, sécurité oblige). Pour accueillir le président américain, c’est littéralement le délire dans les gradins. Dès qu’il surgit sur les écrans géants, il est ovationné. Le contraste est saisissant avec les huées réservées par tout le stade à l’actuel président sud-africain Jacob Zuma, que le réalisateur taquin met à l’image juste après Obama !
Surpris dans la tribune officielle, George Bush est lui aussi hué, contrairement à Bill Clinton que la foule interpelle en l’appelant « Bill, Bill, Bill ». Il répond par de sympathiques saluts. Il est venu avec son épouse Hillary (ex-secrétaire d’État américaine) et leur fille Chelsea, elles-aussi au premier rang. Plus loin, Mgr Desmond Tutu, qui fut si proche de Nelson Mandela, est prostré, comme réfugié dans la prière. Parmi les personnalités présentes, on peut encore reconnaître le chanteur Bono ou l’actrice sud-africaine Charlize Theron. Comme John Major, Tony Blair a accompagné le Premier britannique David Cameron. François Hollande et Nicolas Sarkozy taillent le bout de gras, mais n’en déplaise à l’actuel président français, à leur arrivée, les médias n’en avaient que pour son prédécesseur. Entre autres illustres spectateurs, le roi du Maroc Mohammed VI et le président de la république démocratique du Congo, Joseph Kabila. On nous signale la présence d’Albert et Charlène de Monaco, mais nous ne les avons pas vus.
Derrière nous, les plateaux télé ne désemplissent pas. Nous reconnaissons le vrai François Pienaar, le capitaine de l’équipe de rugby des Springbocks, que Matt Damon a interprété dans « Invictus », le film de Clint Eastwood, interviewé par une chaîne de télé sud-africaine. Les discours des proches de Nelson Mandela s’achèvent, entrecoupés de chants. Barack Obama monte sur scène et va entamer son discours…
(la suite dans un prochain post)

Une selfie rarissime: le président Obama et le Premier britannique David Cameron offrent un souvenir à Helle Thorning Schmidt, Première du Danemark, alors que Michelle rêvasse. (IMAGEGLOBE)
Le Roi avec les grands du monde pour dire adieu à Madiba
10/12/13
Le Roi parmi une septantaine de chefs d’États et de gouvernements pour rendre hommage à Nelson Mandela dans le stade de Soweto
(Premier post très en retard pour cause de wifi en panne, je vous le mets tout de même en attendant d’écrire la suite… immédiatement, en live
Pour la toute première fois à bord du « Air Force One » belge, soit l’Airbus A330 qui sert d’avion royal dans les grandes occasions comme les visites d’État, le Roi est arrivé à Johannesbourg ce lundi en fin de soirée à la tête d’une belle délégation ministérielle composée du Premier ministre Elio Di Rupo, du ministre des Affaires étrangères et vice-Premier Didier Reynders, ainsi que des ministres-présidents flamand et wallon, Kris Peeters et Rudy Demotte. Car ce mardi, ils tiennent à rendre hommage à Nelson Mandela, l’ex-président sud-africain et symbole universel de la lutte contre l’apartheid, le racisme et la violence, décédé jeudi dernier à l’âge vénérable de 95 ans. Toute la planète s’est en quelque sorte donné rendez-vous à Jo’bourg, avec plus d’une septantaine de chefs d’État et de gouvernement dont pas moins de quatre présidents américains et les délégations ad hoc ! Vous imaginez donc le souk ici dans la capitale économique sud-africaine.
Ce mardi, tous assistaient en effet, comme pas moins de 60.000 spectateurs (les trois quarts du stade rempli seulement à cause d’une pluie tenace), à l’hommage rendu au Père de la nouvelle nation sud-africaine dans le stade mythique de Soweto surnommé “Soccer City”. Quelque 4.000 journalistes sont venus du monde entier eux aussi pour couvrir cet événement sans précédent dans l’histoire du pays et certainement aussi de tout le continent africain. Certains journalistes ont dû attendre quelque 7 h pour obtenir la précieuse accréditation donnant accès au stade. Etant arrivés en fin de soirée, les journalistes belges n’ont dû attendre que deux heures pour ce faire. Vers 1 h 15 du matin, nous tenions enfin notre sésame, n’ayons pas peur des mots : notre « précieux ».
En attendant de vous relater cette journée particulièrement chargée (la cérémonie devait commencer à 11 h, elle a débuté vers midi, et le spiorncipaux chefs d’état sont arrivés… vers 13 h! Ca, c’est l’Afrique…), nous avons déjà recueilli les impressions de nos représentants dans l’avion royal. Philippe lui-même est venu nous rendre une petite visite surprise dans la zone presse de l’avion (tout au fond près des toilettes). Le Roi était en tenue relax, un très voyant pull-over vert vif sur la chemise et la cravate de rigueur (pour un Roi, c’est très relax, si si !). En tant que duc de Brabant, Philippe avait pu rencontrer Nelson Mandela à plusieurs reprises dès 1994 et jusqu’en 2006 lors de missions économiques belges là-bas ou lors de la prestation du président Thabo Mbeki, à laquelle Philippe représentait son père, le roi Albert II. Sans trahir le colloque singulier-pluriel qu’il a entretenu avec nous, Philippe nous a confié être heureux d’assister à cette cérémonie, car Nelson Mandela fut une source d’inspiration pour lui. Le Roi dit même avoir été profondément touché par cette personnalité, cette grande figure. Philippe met surtout en avant « son autorité naturelle et son esprit dénué de vengeance et de revanche, mais plutôt de réconciliation et de reconstruction », lorsqu’il est sorti de prison après 27 longues années d’enfermement.
Tout sur le discours et l’incroyable ovation réservée à Barack Obama. Les saluts de Bill Clinton, les huées réservées à Zuma le président sud-africain. Tant et plus, bref, la suite tout à l’heure… si le wifi tient le coup. (Ca, c’est l’Afrique… mais on adore !)