Suède
Bijoux en folie à Copenhague
28/05/18
Philippe et Mathilde invités de marque aux 50 ans du prince Frederik de Danemark.
Que du beau monde! Rois et princes, reines et princesses, en grands et beaux atours, toutes tiares dehors. Tout le gotha européen s’est donné rendez-vous ce samedi soir, 26 mai 2018, à Copenhague pour un dîner de gala offert par la reine Margrethe en l’honneur des 50 ans de son fils aîné, le prince héritier Frederik. Le Roi et la Reine des Belges étaient parmi les heureux invités. Mathilde portait le diadème offert par l’Association de la noblesse belge à l’occasion de son mariage. Ce diadème, qui peut être porté en collier, provient des ateliers du joaillier Hennel & Sons de Londres et date de 1912. Il se compose de 631 diamants. Elle l’accompagne d’une broche et d’un bracelet en diamants et rubis ayant appartenu à la reine Fabiola.
Tous les autres invités avaient fait preuve de la même élégance…

Le prince Paul et la princesse Marie-Chantal de Grèce, suivis par leurs enfants, la princesse Maria-Olympia et le prince Alexios.
Comme le veut la tradition, le jubilaire a salué la population, en compagnie de son épouse la princesse Mary, leurs enfants et la Reine, du haut du balcon du palais royal.
Et voici le bébé de Madeleine !
17/06/15
Toute première image du 2e enfant de la princesse Madeleine de Suède, à défaut de connaître son prénom, selon la tradition nordique!
Voici la toute première photo du petit bébé de la princesse Madeleine de Suède, 33 ans, et de son époux Christopher O’Neill. La deuxième fille du roi Carl XVI Gustav a mis ce petit garçon au monde, lundi dernier, à 13 h 45, soit deux jours à peine après le mariage de son petit frère, le prince Carl-Philip avec Sofia Hellqvist. On ne connaît pas encore le nom du petit garçon, selon la tradition scandinave qui veut que ce prénom soit révélé le jour du baptême de l’enfant. Madeleine, quatrième dans la ligne de succession au trône de Suède, est mariée depuis 2013 avec le financier américano-britannique Christopher O’Neill. Ensemble, ils ont donné naissance à Leonore, née en février 2014 à New York. La petite famille devrait bientôt emménager à Londres.
Mathilde et les reines du bal (toutes les photos)
16/04/15
Le dîner de gala donné mercredi soir à Copenhague à l’occasion des 75 ans de la reine Margethe de Danemark a rassemblé tout le gotha européen. Reines et princesses ont sorti leurs plus belles parures pour illuminer la soirée. En voici les plus belles photos

La reine Mathilde porte le diadème des neuf provinces, bijou historique de la Famille royale. Symbolisant la Belgique unie autour de sa monarchie, le diadème se compose d’un bandeau à la grecque surmonté de onze diamants. L’ensemble représente les neuf provinces (originelles) du royaume, le Congo et la Maison Royale unifiés. Ils sont encadrés par des motifs rhomboïdaux ajoutés à la monture d’origine.

Le roi Carl XVI Gustav de Suède et son épouse la reine Silvia arborant sa splendide parure de saphirs et diamants
Le roi de Suède victime d’un accident de voiture
17/09/14
En plein Stockholm, le véhicule de Carl XVI Gustaf est entré en collision avec une autre voiture. Sa Mercedes a dû être remorquée
Le roi Carl XVI Gustaf a connu quelque émoi ce mercredi matin. Il a en effet été victime d’un accident de la route, dont il est sorti toutefois indemne, mais pas sa Mercedes de fonction. Le souverain suédois a continué sa route dans un autre véhicule, comme le prévoient les mesures de sécurité en pareil cas. «Il y a eu une collision avec une autre voiture qui est venue dans notre file. Le roi est indemne», a déclaré à l’agence de presse TT une porte-parole qui se trouvait dans le même véhicule, Annika Sönnerberg. L’accident a eu lieu sur le pont de Nockeby à Stockholm alors que le roi, âgé de 68 ans, était conduit à l’aéroport en vue d’un voyage vers le Nord du pays.
Dans un pays qui compte les routes parmi les plus sûres du monde, les accidents de la route impliquant le roi sont une vieille tradition. Un quartier de Stockholm, célèbre parce que s’y trouve notamment le plus grand magasin Ikea du monde, porte le nom de Kungens Kurva («la courbe du roi») depuis qu’en 1946 une voiture transportant Gustaf V s’était retrouvé dans le fossé après un virage négocié trop vite par son chauffeur.
La localité de Norrköping, dans le sud du pays a, quant à elle, son Kungens rondell («rond-point du roi») depuis que Carl XVI Gustaf, au volant d’une BMW, y a heurté une autre voiture en 2005.
La princesse Victoria victime d’une chute à ski
31/12/13
L’héritière du Trône de Suède a été transportée en urgence en hôpital privé à Aoste, puis à Genève. Mais sa blessure s’est avérée sans gravité…
Sans parler de série noire, puisque cet accident ne peut pas être comparé à celui de Michael Schumacher, la princesse Victoria, héritière du Trône de Suède, a, à son tour, été victime d’une chute à ski. En vacances à Cervinia dans les Alpes italiennes, non loin de la frontière italo-suisse, Victoria, jeune maman de la petite princesse Estelle de Suède, a chuté lourdement sur une des pistes de la station. Elle a immédiatement été emmenée en hélicoptère privé à Aoste, avant d’être transportée à Genève pour des examens plus complets. L’on a constaté alors que la Princesse a été victime d’une légère entorse à la cheville, blessure sans gravité quoique douloureuse. La fille aînée du roi Carl XVI Gustav et de la reine Silvia était arrivée la veille dans la station en compagnie de ses illustres parents, de son époux, le prince Daniel, de leur fille ainsi que de sa soeur, la princesse Madeleine. Après ses examens, la Princesse a pu regagner son hôtel de Cervinia. Fini le ski pour un moment, Victoria devra désormais privilégier l’après-ski. Ce qui a aussi ses avantages…
Soweto: le Roi au coeur d’une journée historique
10/12/13
Philippe parmi des dizaines de chefs d’État dans la tribune du Stade de Soweto, il s’est entretenu quelques instants avec Barack Obama

Philippe, au côté d’Elio Di Rupo, laisse passer le président du Conseil européen Herman Van Rompuy. (Crédit : DOPPAGNE/IMAGEGLOBE)
Il a ouvert ses portes ce matin à six heures. Le stade FNB mieux connu ici à Soweto sous le surnom de “Soccer City” se remplit surtout d’abord de journalistes. Nous sommes quelque 4.000 ici présents pour vous faire vivre les faits ou vous les raconter au mieux. Les équipes télé se sont montrées les plus acharnées pour se disputer un carré de tribune avec vue imprenable sur l’impeccable pelouse soignée comme un gazon anglais et les trois estrades géantes qui ont été dressées dessus. Les plus grandes vedettes de la NBC, d’ABC ou de CNN, sont là, tirées à quatre épingles, parfaitement maquillées, avec cet air décontracté chic qu’ont toujours les présentateurs vedettes américains. Bien sûr ces médias d’outre-Atlantique sont venus en nombre couvrir cet hommage mondial à Nelson Mandela, et pour cause, le président Barack Obama fera ici tout à l’heure à la tribune un discours très attendu, mais il n’est pas seul, Bill Clinton, George Bush Jr et Jimmy Carter ont également répondu présents. Bien sûr tous ces grands du monde sont sans doute encore en train de roupiller du sommeil du juste à leur hôtel. Pour l’heure, outre notre profession, les premiers à investir le stade sont les gens de la rue, de ce bon peuple sud-africain que Nelson Mandela chérissait tant. Ils se disposent par rangées entières d’abord sous les combles, sous la partie couverte du stade, car, malheureusement en ce jour hommage, il pleut ici comme dix jours de drache nationale belge conjugués. Le bas des gradins restera presque vide tout au long de la cérémonie, mais c’était vraiment intenable de rester sous la pluie sans protection.
Nous sommes en place, à observer tout ce qui se passe. Le temps s’égrène lentement. Dans les gradins, on l’occupe à entonner des chants magnifiques avec cet indéniable fond de tristesse qui vous vrille ces gospels au plus profond de l’âme. D’autant plus qu’ils sont tellement entraînants, comme des chants africains peuvent l’être, qu’ils laissent tout de même en prime comme une ambiance de match de foot renforcée par des coups de sifflet et des chuintements assourdissants des fameuses et si critiquées vuvuzellas qui nous assourdirent lors de la précédente coupe du monde de football en 2010.
Il n’est pas loin de 11 heures, la cérémonie est censée débuter, mais la moitié des officiels ne sont pas encore là. Notre Roi a pris place non loin de Felipe d’Espagne. Elio Di Rupo est à côté de lui. Notre Souverain est installé à l’étage juste au-dessus des médias. Son porte-parole nous le confirme: “Durant sa présence au stade, en marge de la cérémonie, le Roi a eu l’occasion de saluer et parler avec de nombreux chefs d’État, notamment le Président Obama.” Pour notre part, nous nous trouvons juste en dessous de l’ex-Premier britannique John Major, à cinq mètres du prince Haakon de Norvège et de la princesse Victoria de Suède à droite et à quinze mètres à peine de ce qui seront les places des Clinton quand ils feront leur entrée, beaucoup plus tard, alors que la cérémonie aura largement débuté.
Sur la pelouse, une immense scène accueille un orchestre et des chœurs, une autre accueille la famille et les proches de Nelson Mandela, son ex-épouse Winnie en tête, fortement acclamée. La scène principale accueille les chefs d’État qui prendront la parole comme la présidente du Brésil, Dilma Youssef, le président indien, le vice-président chinois, le secrétaire-général de l’ONU Ban Ki-Moon (lui aussi très acclamé) et le président cubain, Raoul Castro, le frère de Fidel. Lequel échangera une sympathique poignée de main avec Barack Obama lors de la venue de ce dernier sur scène pour son discours (et seulement, sécurité oblige). Pour accueillir le président américain, c’est littéralement le délire dans les gradins. Dès qu’il surgit sur les écrans géants, il est ovationné. Le contraste est saisissant avec les huées réservées par tout le stade à l’actuel président sud-africain Jacob Zuma, que le réalisateur taquin met à l’image juste après Obama !
Surpris dans la tribune officielle, George Bush est lui aussi hué, contrairement à Bill Clinton que la foule interpelle en l’appelant « Bill, Bill, Bill ». Il répond par de sympathiques saluts. Il est venu avec son épouse Hillary (ex-secrétaire d’État américaine) et leur fille Chelsea, elles-aussi au premier rang. Plus loin, Mgr Desmond Tutu, qui fut si proche de Nelson Mandela, est prostré, comme réfugié dans la prière. Parmi les personnalités présentes, on peut encore reconnaître le chanteur Bono ou l’actrice sud-africaine Charlize Theron. Comme John Major, Tony Blair a accompagné le Premier britannique David Cameron. François Hollande et Nicolas Sarkozy taillent le bout de gras, mais n’en déplaise à l’actuel président français, à leur arrivée, les médias n’en avaient que pour son prédécesseur. Entre autres illustres spectateurs, le roi du Maroc Mohammed VI et le président de la république démocratique du Congo, Joseph Kabila. On nous signale la présence d’Albert et Charlène de Monaco, mais nous ne les avons pas vus.
Derrière nous, les plateaux télé ne désemplissent pas. Nous reconnaissons le vrai François Pienaar, le capitaine de l’équipe de rugby des Springbocks, que Matt Damon a interprété dans « Invictus », le film de Clint Eastwood, interviewé par une chaîne de télé sud-africaine. Les discours des proches de Nelson Mandela s’achèvent, entrecoupés de chants. Barack Obama monte sur scène et va entamer son discours…
(la suite dans un prochain post)

Une selfie rarissime: le président Obama et le Premier britannique David Cameron offrent un souvenir à Helle Thorning Schmidt, Première du Danemark, alors que Michelle rêvasse. (IMAGEGLOBE)
Le Roi avec les grands du monde pour dire adieu à Madiba
10/12/13
Le Roi parmi une septantaine de chefs d’États et de gouvernements pour rendre hommage à Nelson Mandela dans le stade de Soweto
(Premier post très en retard pour cause de wifi en panne, je vous le mets tout de même en attendant d’écrire la suite… immédiatement, en live
Pour la toute première fois à bord du « Air Force One » belge, soit l’Airbus A330 qui sert d’avion royal dans les grandes occasions comme les visites d’État, le Roi est arrivé à Johannesbourg ce lundi en fin de soirée à la tête d’une belle délégation ministérielle composée du Premier ministre Elio Di Rupo, du ministre des Affaires étrangères et vice-Premier Didier Reynders, ainsi que des ministres-présidents flamand et wallon, Kris Peeters et Rudy Demotte. Car ce mardi, ils tiennent à rendre hommage à Nelson Mandela, l’ex-président sud-africain et symbole universel de la lutte contre l’apartheid, le racisme et la violence, décédé jeudi dernier à l’âge vénérable de 95 ans. Toute la planète s’est en quelque sorte donné rendez-vous à Jo’bourg, avec plus d’une septantaine de chefs d’État et de gouvernement dont pas moins de quatre présidents américains et les délégations ad hoc ! Vous imaginez donc le souk ici dans la capitale économique sud-africaine.
Ce mardi, tous assistaient en effet, comme pas moins de 60.000 spectateurs (les trois quarts du stade rempli seulement à cause d’une pluie tenace), à l’hommage rendu au Père de la nouvelle nation sud-africaine dans le stade mythique de Soweto surnommé “Soccer City”. Quelque 4.000 journalistes sont venus du monde entier eux aussi pour couvrir cet événement sans précédent dans l’histoire du pays et certainement aussi de tout le continent africain. Certains journalistes ont dû attendre quelque 7 h pour obtenir la précieuse accréditation donnant accès au stade. Etant arrivés en fin de soirée, les journalistes belges n’ont dû attendre que deux heures pour ce faire. Vers 1 h 15 du matin, nous tenions enfin notre sésame, n’ayons pas peur des mots : notre « précieux ».
En attendant de vous relater cette journée particulièrement chargée (la cérémonie devait commencer à 11 h, elle a débuté vers midi, et le spiorncipaux chefs d’état sont arrivés… vers 13 h! Ca, c’est l’Afrique…), nous avons déjà recueilli les impressions de nos représentants dans l’avion royal. Philippe lui-même est venu nous rendre une petite visite surprise dans la zone presse de l’avion (tout au fond près des toilettes). Le Roi était en tenue relax, un très voyant pull-over vert vif sur la chemise et la cravate de rigueur (pour un Roi, c’est très relax, si si !). En tant que duc de Brabant, Philippe avait pu rencontrer Nelson Mandela à plusieurs reprises dès 1994 et jusqu’en 2006 lors de missions économiques belges là-bas ou lors de la prestation du président Thabo Mbeki, à laquelle Philippe représentait son père, le roi Albert II. Sans trahir le colloque singulier-pluriel qu’il a entretenu avec nous, Philippe nous a confié être heureux d’assister à cette cérémonie, car Nelson Mandela fut une source d’inspiration pour lui. Le Roi dit même avoir été profondément touché par cette personnalité, cette grande figure. Philippe met surtout en avant « son autorité naturelle et son esprit dénué de vengeance et de revanche, mais plutôt de réconciliation et de reconstruction », lorsqu’il est sorti de prison après 27 longues années d’enfermement.
Tout sur le discours et l’incroyable ovation réservée à Barack Obama. Les saluts de Bill Clinton, les huées réservées à Zuma le président sud-africain. Tant et plus, bref, la suite tout à l’heure… si le wifi tient le coup. (Ca, c’est l’Afrique… mais on adore !)
La princesse Madeleine de Suède va se marier !
25/10/12
La plus jolie princesse célibataire du Gotha européen va se marier à l’âge de 30 ans, avec un financier anglo-américain de 38 ans du nom de Chris O’Neill.

de gauche à droite, Chris O'Neill et la princesse Madeleine, puis le prince Carl Philip et sa fiancée, Sofia Hellqvist, une top-modèle. (Crédit Reporters)
La Cour de Suède a annoncé ce jeudi les fiançailles de la princesse Madeleine, troisième enfant du roi Carl XVI Gustaf, avec l’Anglo-Américain Christopher O’Neill.
La nouvelle, d’abord rapportée par la presse tabloïd suédoise, a été confirmée par la Reine et la publication d’un court communiqué, accompagné de photographies officielles et d’un message vidéo des fiancés, sur le site internet de la Maison royale.
“Aujourd’hui, Chris et moi sommes très heureux de pouvoir dire que nous nous sommes fiancés”, a ainsi indiqué la princesse, élégamment vêtue d’une robe vert foncé, dans la vidéo. “Madeleine et moi sommes ensemble depuis deux ans et j’ai récemment pris mon courage à deux mains et lui ai demandé de m’épouser. Heureusement, elle a dit oui!”, a ajouté M. O’Neill, un brin crispé.
Ce nouveau mariage princier aura lieu pendant l’été.
Christopher O’Neill, un financier de 38 ans né à Londres, habite à New York avec la princesse. Ils n’ont pas l’intention de s’établir en Suède dans l’immédiat.
La princesse Madeleine, 30 ans, vit aux États-Unis depuis avril 2010 et la rupture de précédentes fiançailles avec le Suédois Jonas Bergström.
Ces nouvelles fiançailles étaient très attendues en Suède. La presse people spéculait allégrement sur le prochain mariage royal, celui de Madeleine ou celui de son frère Carl Philip, 33 ans, lui aussi mis sous pression populaire.
En mai, à l’occasion du baptême de la petite-fille du couple royal, la princesse Estelle, Chris O’Neill avait fait sa première apparition publique lors d’un événement officiel de la famille royale, en même temps que la compagne du prince, Sofia Hellqvist.
Le dernier mariage royal suédois remonte au 19 juin 2010. La princesse héritière Victoria, âgée aujourd’hui de 35 ans, avait épousé Daniel Westling, 39 ans, son ancien professeur de gymnastique, lors de noces féeriques qui avaient rassemblé le gotha européen.
Les fiançailles de Madeleine ont été approuvées par le gouvernement. (avec AFP)
Les plus belles photos du mariage princier !
23/10/12
Romance et glamour à Luxembourg, les meilleurs moments en images du mariage du Grand-Duc héritier Guillaume de Luxembourg avec sa princesse de coeur, la comtesse Stéphanie de Lannoy. Découvrez les ici
Mariage princier: la robe de Stéphanie et le discours du Grand-Duc
19/10/12
Discours de S.A.R. le Grand-Duc au dîner de gala au palais grand-ducal
“Chère Stéphanie, Cher Guillaume,
A l’occasion de votre mariage vos parents aimeraient vous dire combien ils sont heureux et fiers de vous voir commencer ensemble cette vie à deux. Nous avons vu éclore cet amour il y a maintenant plus de deux ans. Il s’est concrétisé peu à peu pour donner naissance à ce couple rayonnant de bonheur que nous avons la joie de voir aujourd’hui. Ce cheminement vous l’avez fait à deux. Aussi vous savez que le mariage est une alliance, un engagement qui se renouvelle tous les jours. C’est une démarche commune où chacun doit tout faire en fonction de l’autre. Un mariage réussi c’est aussi regarder ensemble dans la même direction. En vous observant, il n’y a aucun doute possible: vous êtes faits l’un pour l’autre, prêts à affronter les joies, mais aussi les vicissitudes de la vie, au service de l’un et de l’autre, au service de votre famille et au service du pays sur lequel il vous sera un jour donné de régner. La population luxembourgeoise voit en votre union un gage de continuité qui mènera notre cher pays vers un avenir que nous espérons de tout coeur prospère et pacifique.
Chère Stéphanie,
Nous t’accueillons en ce jour avec une très grande joie. Nous savons que grâce à ta grande sensibilité, ton intelligence et ton dévouement tu combleras notre fils. Le fait d’avoir déjà passé les épreuves les plus difficiles, notamment le départ soudain de ta chère mère, nous a démontré si besoin l’était ta force et ton courage face à l’adversité. Alix restera toujours pour nous qui avons eu la chance et le bonheur de la connaître, un Être d’exception. De là-haut, elle veillera sur vous afin que vous aussi, vous soyez un couple uni et exemplaire comme celui que formaient Alix et Philippe. Que leur exemple vous guide tout au long de votre vie. Lors de tes fiançailles et de ta rencontre avec les autorités nationales, les luxembourgeois t’ont tout de suite adoptée comme leur future princesse. Ton rayonnement, tes convictions, mais aussi ta douceur feront de toi la personne parfaite pour seconder et soutenir Guillaume tout au long de sa vie. Nous t’aimons et sommes heureux et reconnaissants que tu aies choisi notre fils. Nous voudrions remercier tes chers parents pour le soutien inconditionnel qu’ils ont montré lors de l’éveil de votre amour. Alix, ta chère mère, reste très présente dans nos coeurs et le sera particulièrement tout au long de ces jours de festivités. Ton père Philippe marie sa dernière fille, son plus jeune enfant. Nous imaginons l’émotion que cela doit être pour lui. L’union entre nos deux familles, aux traditions bien établies, basées sur des valeurs chrétiennes, transmises à leurs enfants, sont également un gage de solidité pour votre jeune couple.
Cher Guillaume,
Dorénavant commence pour Stéphanie et pour toi, cette grande et belle aventure qu’est le mariage. Nous t’avons vu grandir et t’épanouir pour être aujourd’hui un homme responsable, résolument engagé au service des autres et en particulier de ceux qui souffrent. Ta très grande capacité d’aller vers autrui te permet de remplir ta tâche avec intelligence et simplicité. Les missions économiques que tu présides avec beaucoup de compétence sont indispensables pour la promotion de notre pays dans le monde, en particulier au vu de la situation difficile dans laquelle nous nous trouvons. Ton épouse sera, comme ta mère l’est pour moi, un soutien essentiel dans la mission difficile, mais oh combien exaltante qui vous attend. Oui, cher Guillaume, nous sommes fiers de toi, tu es un homme de devoir et ta ligne de conduite est le bien commun. Nous avons toute confiance dans tes jugements, mais sache également que nous serons toujours là pour vous soutenir et vous aider si vous en avez besoin.”