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Philippe et Mathilde en audience chez le pape François
25/11/14
Le Roi et la Reine seront reçus le 12 décembre en audience par le pape François au Vatican. La dernière visite officielle de souverains belges remonte à 2009, pour la canonisation du Père Damien. Albert II et Paola avaient alors été reçus par le pape Benoît XVI
Philippe et Mathilde vont rencontrer officiellement le fascinant pape François au Vatican le 12 décembre prochain. Profondément croyants, le Roi et la Reine sont proches de la Communauté de l’Emmanuel et pourtant ils n’ont jamais été reçus en audience par aucun pape. Au contraire des parents du roi Philippe ou de sa soeur, la princesse Astrid.
Si l’on a vu nos anciens Souverains Albert et Paola assister, sur un plan semi-privé, à la messe d’intronisation du pontificat de François en mars 2013, la dernière visite officielle de la monarchie belge au Vatican remontait à octobre 2009, Albert II et Paola ayant été reçus en audience par le pape Benoît XVI à l’occasion de la canonisation du Père Damien. Bien qu’étant parmi les ouailles papales, car catholique pratiquant, le roi Albert II a dû prendre des décisions difficiles pour sa conscience de catholique puisqu’il apposé au cours de son règne sa signature sur une loi dépénalisant l’euthanasie et sur une autre autorisant les mariages homosexuels. Il ne fallait pas reproduire l’exemple du roi Baudouin qui avait refusé de signer une loi dépénalisant l’avortement et mis, ainsi, gravement, la monarchie en danger, avant que le gouvernement de l’époque trouve une solution façon “compromis à la belge” plaçant le souverain en impossibilité temporaire de régner juste le temps de faire passer la loi !
Philippe a pris le parti d’adopter l’attitude conciliante de son père, respectueux de la Constitution belge et des limites de son pouvoir. Le 2 mars 2014, il a ainsi entériné une loi controversée sur l’extension de l’euthanasie aux mineurs.
Charlène accouchera plus tôt que prévu !
19/11/14
À l’occasion de la Fête nationale monégasque, Albert a annoncé que la naissance des jumeaux était prévue pour la mi-décembre. Et on a pu voir que la princesse Caroline ne lâchait pas son petit-fils, le tout beau Sacha, d’une semelle !
À un mois du terme de sa grossesse, la princesse Charlène était tout de même au côté de son époux ce mercredi 19 novembre, jour de Fête Nationale en Principauté de Monaco, pour saluer la population du haut du balcon du palais princier. En ce jour de fête, son époux, le prince Albert, s’est exprimé dans la presse locale et a confié aux journalistes de Monaco-Matin que la naissance des jumeaux princiers, annoncée aux alentours de Noël, aurait plus vraisemblablement lieu dix jours plus tôt, soit vers la mi-décembre, en raison justement de cette grossesse gémellaire. Au sortir de la messe d’action de grâce célébrée en la cathédrale de Monaco, le Prince Souverain était toutefois en solo, et ses soeurs Caroline et Stéphanie, accompagnées de certains de leurs enfants. Andrea Casiraghi était venu avec son épouse Tatiana, ainsi que leur petit Sacha. Que sa très fière grand-mère, la princesse Caroline, n’ a quitté des yeux à aucun moment ! Pierre Casiraghi était également présent tout comme la jeune princesse Alexandra, la cadette de la fratrie. Par contre, point de Charlotte sur le Rocher, son conjoint Gad Elmaleh et leur petit Raphaël n’ont pas davantage montré le bout du nez.
Pas d’Albert II au Te Deum pour Philippe!
6/11/14
Le 15 novembre prochain, à l’occasion de la Fête du Roi, les membres de la Famille royale assistent au Te Deum chanté pour le Souverain. Mais Albert II sera aux abonnés absents…
Le Palais royal vient d’annoncer dans un communiqué les présences de la Famille royale pour la Fête du Roi le 15 novembre, un événement auquel il est de coutume que le couple royal en titre n’assiste pas, mais auquel les autres membres de la famille sont plutôt tenus d’assister.
“Dans la matinée du samedi 15 novembre 2014, Sa Majesté la Reine Paola, Leurs Altesses Royales la Princesse Astrid et le Prince Lorenz, et Son Altesse Royale la Princesse Claire assisteront au Te Deum chanté en la Cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule à Bruxelles à l’occasion de la Fête du Roi.”
On le remarque donc, pas de trace du roi Albert II. On le sait souffrant, il est effectivement en convalescence depuis son opération lundi dernier, aux cliniques Saint-Luc, des suites de son cancer de la peau. Cependant, après l’intervention chirurgicale, il a pu quitter l’hôpital et regagner son domicile du Belvédère le soir-même. Ce motif d’excuse tout à fait compréhensible n’empêchera pas d’aucuns de s’étonner d’une nouvelle absence de l’ancien Souverain lors d’un événement mettant son fils, le roi Philippe, en valeur.
A noter que le prince Laurent ne sera pas présent non plus à cet événement, ni la reine Fabiola, qui est, elle, tout excusée par son grand âge et son état de santé.
Albert II à nouveau opéré
5/11/14
L’ex-Souverain a été opéré lundi des suites de son cancer de la peau. Programmée aux cliniques Saint-Luc, l’intervention a concerné des lésions cutanées situées sur le front et dans le cuir chevelu.
On avait annoncé que son retour au pays était sans doute lié à la poursuite de son traitement médical. En effet, le roi Albert II a été opéré ce lundi 3 novembre 2014 aux Cliniques universitaires Saint Luc à Bruxelles pour le traitement de lésions cutanées situées sur le front et dans le cuir chevelu. Des lésions du même ordre que celles précédemment traitées sur le nez et le cuir chevelu. La reine Paola est restée toute la journée auprès de l’ex-Souverain. Le couple a pu regagner sa résidence du Belvédère le soir-même. “L’opération a été effectuée sous anesthésie générale et s’est bien déroulée”, selon un communiqué du Palais royal. “Le roi Albert doit cependant observer une période de repos et de convalescence.”
Le discours de Philippe devant la Chambre
21/07/13
Après avoir prêté le serment constitutionnel devant les Corps Constitués, le prince Philippe a livré son premier discours dans lequel il rend particulièrement hommage à son père, sa mère et son épouse, la reine Mathilde.
Le premier discours du roi Philippe
Majestés, Monsieur le Président de la Chambre des Représentants, Madame la Présidente du Sénat, Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs,
Je viens de prêter devant vous le serment constitutionnel. Je suis conscient de la responsabilité qui désormais m’incombe. Ce serment est une promesse solennelle qui renouvelle la relation de confiance qui existe depuis bientôt deux cents ans entre le Roi et le peuple belge.
Je succède aujourd’hui à six autres Rois, dont mon père le Roi Albert. Sire, pendant vingt ans, vous avez entretenu cette confiance en vous montrant d’une part proche de tous, chaleureux et profondément humain, et d’autre part attentif et engagé dans l’exercice de votre responsabilité de Chef de l’Etat. La Reine Paola vous a secondé dans votre tâche tout en se consacrant plus spécialement à des domaines essentiels tels que l’enseignement et la culture.
Avec sérénité, dignité et dévouement, vous avez accompagné le peuple belge en des temps parfois difficiles comme à des moments heureux et à une époque marquée par des changements profonds dans le monde. Nous vous en sommes reconnaissants.
Je me rends compte de la chance que j’ai de pouvoir compter sur le soutien permanent de mon épouse la Reine Mathilde. Chère Mathilde, depuis de nombreuses années, tu t’es investie de tout ton cœur dans de nombreuses activités. Tu as un sens inné pour le contact humain. Avec nos chers enfants nous entamons, confiants, ce nouveau chapitre de notre vie et de notre pays.
Mesdames et Messieurs,
J’entame mon règne avec la volonté de me mettre au service de tous les Belges. Je travaillerai pour cela en parfaite entente avec le gouvernement et dans le respect de la Constitution. Au cours des années écoulées j’ai pu tisser des liens de plus en plus forts avec de très nombreux concitoyens. Je compte intensifier ce dialogue.
La richesse de notre pays et de notre système institutionnel réside notamment dans le fait que nous faisons de notre diversité une force. Nous trouvons chaque fois l’équilibre entre unité et diversité. La force de la Belgique est justement de donner un sens à notre diversité.
La nouvelle réforme de l’Etat réalise un transfert de compétences important aux entités fédérées. Cela rapprochera les citoyens de la prise de décisions. Cela permettra de mieux rencontrer les défis de l’avenir. La force de la Belgique réside également dans ses entités fédérées. J’entends entretenir des contacts constructifs avec leurs responsables. Je suis convaincu que la coopération entre l’Etat fédéral, les Communautés et les Régions s’opérera au plus grand bénéfice de nos citoyens et de nos entreprises.
Nous savons qu’ensemble nous pouvons mettre en valeur les talents de chacun. En cela réside notre génie commun tel qu’il s’est développé tout au long de notre histoire. C’est un état d’esprit qui a façonné notre caractère et nos valeurs. Faire face ensemble aux problèmes les plus complexes, concilier les diverses aspirations, les intégrer sans qu’elles perdent leur originalité et leur force, voilà ce qui a aussi forgé notre inventivité et notre sens de la mesure.
Mesdames et Messieurs,
Ces valeurs qui nous animent ont guidé des générations d’hommes et de femmes avant nous. Par leur engagement dans la société et dans la politique ils ont assuré à notre pays un niveau élevé de prospérité et de solidarité. Ils ont offert à la fois un cadre solide pour entreprendre et une sécurité sociale efficace.
Nous sommes confrontés à une crise qui frappe durement de nombreux concitoyens. Je veux aujourd’hui encourager chaque homme et chaque femme à faire face. Il y a en chacun de nous un potentiel insoupçonné qui n’attend qu’à se révéler. J’en suis profondément convaincu. De plus, nous avons collectivement les moyens pour surmonter nos difficultés et pour assurer à chacun l’opportunité de progresser.
Plus que jamais, le projet européen doit nous donner espoir et confiance. L’Europe que nous souhaitons doit apporter croissance et solidarité. Nous sommes fiers que notre capitale soit aussi la capitale de l’Europe et qu’à chaque moment de son histoire des dirigeants belges ont été au cœur de ce grand projet. Au cours de mes missions à l’étranger j’ai pu constater combien les atouts de la Belgique et les talents et les forces dont elle dispose étaient appréciés de par le monde.
Mesdames et Messieurs, c’est dans cet esprit que j’agirai durant mon règne. Je soutiendrai, en Belgique et à l’étranger, toutes ces qualités qui sont les nôtres.
Donnons tous ensemble à notre pays un nouvel élan d’enthousiasme.
Vive la Belgique ! Leve België ! Es lebe Belgien !
Dans son discours d’adieu, Albert II appelle les Belges à soutenir Philippe
20/07/13
Voici, dans son intégralité, l’ultime discours de Fête nationale d’Albert II en tant que Roi régnant. Un discours très sobre, mais aussi optimiste dans lequel il rend hommage à la classe politique et encourage les Belges à entourer le roi Philippe et la reine Mathilde de leur collaboration active et de leur soutien.
Mesdames et Messieurs,
Il y a près de 20 ans, mon frère le Roi Baudouin nous quittait et je
lui ai succédé. Je voudrais encore saluer sa mémoire. Il a su allier
un grand sens de l’Etat et du devoir, avec une réelle bonté, une
grande simplicité, et un souci pour les plus faibles de notre société.
Aujourd’hui, c’est avec émotion que je m’adresse une dernière fois
à vous comme Roi. Pendant 20 ans et ces jours-ci encore vous m’avez,
par vos témoignages d’attachement, encouragé dans la tâche qui
était la mienne. Je vous en remercie chaleureusement.
Je voudrais aussi dire ma gratitude à différents groupes de
responsables de notre société. Durant mon règne j’ai apprécié la
compétence, le dévouement et le sens du compromis constructif, de très
nombreux hommes et femmes politiques. Si notre pays n’est pas toujours
facile à gouverner, son pluralisme constitue une richesse démocratique
précieuse. J’ai rencontré des responsables politiques qui ont fait
preuve d’un remarquable sens de l’intérêt général dans des
circonstances difficiles. J’en veux pour preuves toutes récentes les accords
budgétaires pour 2013 et 2014, le compromis trouvé sur le statut
ouvriers-employés et les solutions dégagées pour l’approvisionnement de
notre pays en électricité. Avec ces accords récents, et ceux réalisés
précédemment sur la réforme de l’Etat et sur le plan économique et
social, la Belgique a trouvé un souffle nouveau tant sur le plan
intérieur qu’européen. Ceci nous permet d’envisager l’avenir avec confiance.
Je rends également hommage à l’ensemble de la fonction publique. Je
pense particulièrement à tous les militaires qui ont servi ou qui
servent encore en opérations de paix à travers le monde.
Par ailleurs, nous avons pu côtoyer de nombreux dirigeants
économiques et des partenaires sociaux qui ont fait preuve de dynamisme dans
un monde toujours plus globalisé, et qui se sont efforcés
d’encourager et de préserver la dimension sociale de notre développement
économique. Ils viennent encore d’en fournir un bel exemple. En période
de crise c’est souvent plus difficile à réaliser, mais cela demeure essentiel.
La Reine et moi avons été charmés aussi par nos contacts avec le
monde culturel qui témoigne d’une étonnante créativité due au fait que
notre pays se situe aux confins de plusieurs grandes cultures.
Enfin, la vitalité et la générosité du monde associatif constituent un
grand atout pour la Belgique. Notre pays compte également de nombreux
talents dont nous pouvons être fiers.
Vous me demanderez peut être, au moment où je quitte ma fonction,
quels sont mes souhaits pour l’avenir. J’en ai beaucoup mais j’en
exprimerai surtout quatre.
1. Premièrement, que la Belgique garde sa cohésion. Elle s’est
transformée depuis une quarantaine d’années, de façon pacifique et
démocratique, d’un Etat unitaire en un Etat fédéral où les entités
jouissent d’une très large autonomie. Et avec la mise en ½uvre de la 6ème
réforme de l’Etat, cette autonomie va se renforcer considérablement.
Je profite de cette occasion pour saluer l’énorme travail réalisé
ces derniers mois par le gouvernement et ses collaborateurs.
Dans un monde qui change rapidement, il est important que chaque
responsabilité publique soit exercée au niveau qui est le plus
équitable et le plus efficace. De même, je suis convaincu que le maintien
de la cohésion de notre Etat fédéral est vital, non seulement pour la
qualité de notre vie ensemble, qui nécessite le dialogue, mais
aussi pour la préservation de notre bien-être à tous.
2. Deuxièmement. Continuons à croire fermement dans l’Europe. Dans
notre monde, cette construction européenne est plus que jamais
nécessaire. Dans beaucoup de domaines les défis ne peuvent être
rencontrés qu’au niveau européen, et c’est à ce niveau qu’un certain nombre
de valeurs peuvent être le mieux défendues. Je pense à la richesse de
la diversité, au pluralisme démocratique, à la tolérance, à la
solidarité, et à la protection des plus faibles. Mais il est essentiel
que le projet européen soit plus qu’un projet budgétaire, qu’il mette
également l’accent sur la croissance durable, sur l’emploi, sur les
perspectives d’avenir pour les jeunes, sur la justice sociale, et
sur la culture.
Notre pays lui-même, doit être un moteur d’une construction
européenne où la dimension humaine et démocratique est centrale. Notre
pragmatisme, notre sens de l’équilibre, et notre ouverture à l’autre,
sont des qualités précieuses pour atteindre ces objectifs. Et de plus,
nous avons la chance que les principales institutions européennes
soient situées au c½ur de notre pays.
3. Enfin, troisièmement, même en période de crise en Europe,
restons ouverts aux pays en développement. Pour nous Belges, soyons
attentifs à l’Afrique Centrale avec laquelle nous avons tissé tant de
liens, et qui traverse aujourd’hui tellement d’épreuves.
4. Je terminerai par un souhait qui m’est très cher comme Roi et
comme père : entourez le futur Roi Philippe, et la future Reine
Mathilde, de votre collaboration active et de votre soutien. Ils forment
un excellent couple au service de notre pays et ils jouissent de
toute ma confiance.
Quant à la Reine et moi, nous continuerons, dans la discrétion
cette fois, à nous intéresser à ce qui se passe dans notre pays que nous
aimons tant.
Meine Damen und Herren
Ich möchte mit einem Wunsch enden, der mir als König und als Vater sehr
am herzen liegt: arbeiten Sie aktiv mit dem künftigen König Philipp
und der künftigen Königin Mathilde zusammen.”
Albert II tout de bronze au Sénat !
16/07/13
Le sculpteur Wilfried Pas a coulé pour la postérité dans le bronze verdi les bustes du sixième couple royal. Prestance et majesté au menu pour Albert II. Une oeuvre toute en discrétion et en élégance pour la reine Paola.
Ce mardi, au cours de leur toute dernière semaine à la tête du pays, le Roi et la Reine étaient les invités du Sénat de Belgique. Ils ont inauguré leurs bustes qui orneront les locaux de la Haute Assemblée. installés dans le Salon vert du Palais de la Nation, ces bustes de nos sixièmes Souverains, réalisés en bronze verdi, sont l’oeuvre du sculpteur néo-expressionniste flamand Wilfried Pas. C’est en effet une tradition que la Chambre accueille les portraits des couples royaux alors que le Sénat reçoit leurs bustes. Mais il est dit qu’Albert II marquera l’histoire du Sénat autant que l’histoire de Belgique, car les dix statues des précédents couples royaux étaient sculptées dans le marbre blanc. Albert II et Paola ont quant à eux été coulés dans le bronze. Le critique d’art et dénicheur de talents bien connu Jan Hoet, ami de la Reine et membre de la Commission Art du Sénat estime que “Wilfried Pas est parvenu à rendre les traits burgonds du visage du Roi et la grâce de la Reine”. La réception rassemblait une centaine d’invités parmi lesquels des sénateurs, les présidents et anciens présidents des deux chambres ainsi que le vice-Premier ministre (CD&V) Pieter De Crem. Aucun membre de la N-VA ni du Vlaams Belang n’était présent, sans trop de surprise. Ensuite Albert II et Paola ont convié, en présence du futur couple royal, présidents et anciens présidents au Palais royal où ils se sont vus remettre encore plusieurs cadeaux. Pareil accueil augure du meilleur pour les trois Joyeuses Sorties d’Albert et Paola, demain à Gand, jeudi à Eupen et vendredi à Liège…
Le nouvel objectif du Roi : des photos de vacances !
15/07/13
Albert II a reçu ce lundi les membres du gouvernement fédéral à déjeuner au château de Laeken. Comme cadeau de départ, nos élus lui ont offert un (gros) télé-objectif pour son appareil photo. De quoi assouvir sa passion bien connue pour la photographie animalière.

Les membres du gouvernement fédéral ont offert un télé-objectif au Souverain en guise de cadeau de départ. (Crédit REPORTERS)
C’est par un déjeuner au château de Laeken qu’Albert II a entamé cette semaine la dernière ligne droite vers sa mise à la retraite, puisqu’il abdiquera ce dimanche 21 juillet, jour de fête nationale, 20 ans presque jour pour jour après sa montée sur le trône. Pour pouvoir les saluer de manière plus informelle avant la grande cérémonie de l’abdication, le Roi recevait ce lundi 15 juillet l’ensemble des membres du gouvernement fédéral à déjeuner dans sa résidence officielle. Lesquels lui ont offert, non pas entre la poire et le fromage, mais bien à l’apéritif, un cadeau d’adieu pour le remercier de ses bons et loyaux services à la tête du pays. Mais que pouvaient-ils offrir à un Souverain qui a déjà tout ? Un objectif de taille ! En l’occurrence un télé-objectif 80-400 de marque Nikon (prix: environ 2.700 euros sur le site de la Fnac !) Ils connaissent en effet la grande passion du Roi abdicataire pour la photographie animalière. En fait, grâce à cet objectif, le Roi pourra carrément photographier la parade amoureuse des cerfs… de la fenêtre du salon de son château ardennais ! Ou à son tour jouer les paparazzi en flashant les photographes en planque bien à l’abri depuis le pont de son yacht !
Philippe déjà sur le trône le 21 juillet
3/07/13
Selon nos informations, la date du 21 juillet 2013 sera cruciale pour notre monarchie.
Ce mercredi soir, le roi Albert II devrait annoncer son abdication dans une allocution à la population à 18h sur les quatre grandes chaînes de télévision. A très bonne source, Albert II va annoncer qu’il quittera le trône le 21 juillet et qu’il sera remplacé dans la foulée par le prince Philippe, toujours le 21 juillet.
ADN du prince Philippe: pourquoi Delphine Boël n’aura pas gain de cause
17/06/13
Découvrez pourquoi la fille naturelle du Roi ne peut pas demander une reconnaissance en paternité et tente une autre voie pour arriver à ses fins…
Une bombe vient de s’abattre sur le Palais royal. La fille naturelle du Roi a entamé une action au tribunal de première instance de Bruxelles. Il ne s’agit pas comme on pouvait le penser d’une reconnaissance en paternité de son illustre géniteur: Delphine Boël demande une prise ADN sur la personne du prince Philippe !
Dans cet esprit, elle cite à comparaître le Prince héritier, le Roi lui-même et même son père adoptif Jacques Boël qui l’a déshéritée, comme nous vous le révélions dans “Le Soir magazine” il y a quelques mois. Et dans l’émission “Sans chichis” qui lui a été consacrée il y a trois mois sur la RTBF, elle avait lâché une phrase sibylline, lourde de sens aujourd’hui: «Je suis totalement écœurée. Mais je pense que le sang peut faire des miracles.» Elle entend donc obtenir un test ADN du prince Philippe! Ce afin de prouver qu’il est son frère et qu’elle est donc bien la fille d’Albert II, la personne du Roi étant judiciairement inviolable. Le tribunal de première instance a reporté l’affaire au 25 juin prochain car la partie demanderesse réclame une chambre à trois juges.
Cette affaire pose plusieurs questions :
- Pourquoi Delphine Boël n’a pas demandé une reconnaissance en paternité ? La loi belge ne reconnaît qu’un seul père. Jacques Boël est le père légal de Delphine et ne l’a jamais désavouée.
- Pourquoi n’a-t-elle pas désavoué son père légal avant d’entamer cette action ? Il y aurait prescription. Delphine Boël est née en 1968 et n’a jamais jusqu’à présent demandé de désavoeu de paternité. La date serait dépassée depuis belle lurette.
- Peut-elle obtenir un test ADN ? En principe, pour une reconnaissance en paternité, la personne visée n’est pas obligée d’accepter un test ADN. Et, en plus, le prince Philippe n’est pas concerné au premier degré par l’affaire…
Delphine Boël paraît mal embarquée dans cette affaire, mais comme on dit, la vérité se fera au tribunal. Et à force de se battre contre les moulins, on finit toujours bien par en accrocher une aile…