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Mathilde reine de coeur et Baudouin bientôt canonisé !
31/07/13
Toute la famille royale s’est retrouvée ce mercredi 31 juillet en la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule pour commémorer les 20 ans de la mort du roi Baudouin. Dans son homélie, le cardinal Danneels a évoqué la question de la canonisation du 5e roi des Belges. Ensuite, rois, reines, princes et princesses se sont pliés de bonne grâce à un bain de foule aux accents particulièrement patriotiques.
Après les festivités de la Fête nationale et quelques jours de congé, les membres de la Famille royale se sont retrouvés ce mercredi à la messe de commémoration des 20 ans de décès du roi Baudouin. La cérémonie d’une heure et demie s’est déroulée en la cathédrale des Saints-Michel-et-Gudule, à Bruxelles. Comme il l’avait déjà fait lors des funérailles du Roi en 1993, La suite >
Pour le prince Laurent “chacun est roi !”
29/07/13
En visite en famille à la Foire agricole de Libramont, le fils cadet d’Albert II a été interviewé par une journaliste de la RTBF: Ca lui fait quoi d’être le frère du Roi ? Découvrez sa réponse énigmatique et un brin d’humour de bon aloi…

Le prince Laurent et l’ancien président de la Chambre Herman De Croo se tombent dans les bras. © IMAGEGLOBE
Comme chaque année, le prince Laurent a tenu à visiter la Foire agricole de Libramont, dont c’est actuellement la 79e édition. Pour l’occasion il était accompagné de son épouse la princesse Claire et de leurs enfants, Louise, Aymeric et Nicolas. Le couple princier a arpenté à son aise les allées de la Foire, n’hésitant pas à discuter avec des visiteurs et à rendre visite à plusieurs stands dont ceux de la Ligue Braille et de l’association wallonne de l’élevage. Les enfants se sont montrés intéressés par les machines agricoles et ont fondu, comme de juste, pour les animaux exposés. Le Prince en a profité pour se rendre aussi sur le stand de sa fondation. Présente pour la première fois à Libramont, la Fondation Prince Laurent a pour objectif l’apport de soins aux animaux de compagnie des personnes à faible revenu. Ses cinq dispensaires répartis sur l’ensemble du pays soignent quelque 1.000 animaux par mois. Mais la venue du Prince, surtout après un 21 juillet historique comme on vient de le vivre, ne pouvait qu’exciter la curiosité de la gent journalistique en quête d’un bon sujet. Notre consoeur Danielle Welter de la RTBF lui a donc demandé comment il se sentait en tant que frère du Roi ? Beaucoup moins agressif qu’à l’accoutumée et d’humour presque badine, le Prince de rétorquer: “Mais vous devez être la soeur d’un grand roi aussi”, avant de prendre l’assistance à témoin, dont le ministre wallon de l’Agriculture Carlo Di Antonio (CDH) qualifié de fils de roi lui-même avant de conclure: “Chacun est roi. On a chacun nos rois et nos reines.” Critique humoristico-acerbe pour son frère ? Non, plutôt la volonté de botter en touche aux questions de la presse. Et réflexion pas dénuée d’intérêt non plus: nous avons chacun nos héros…
Sale blague pour le prince Laurent: il perd 50.000 euros !
5/06/13
Un accord historique vient d’être obtenu au sein des partis de la majorité fédérale: la famille royale va être soumise à la fiscalisation de ses dotations.
L’accord qui vient d’être obtenu au Lambermont (la résidence du Premier ministre) sur la réforme des dotations royales, comme nous l’apprend Le Soir, est historique et révolutionnaire: car le principe de la fiscalisation des revenus a finalement été retenu pour les dotations princières.Du jamais vu depuis 1830 ! La Liste civile du Roi n’est toutefois pas concernée, tout comme la “rente viagère” de la reine Fabiola, semble-t-il (plus de développements à suivre). Les budgets de fonctionnement alloués chaque année par l’État au prince Philippe, à la princesse Astrid et au prince Laurent devraient donc être fiscalisés pour un tiers de leur montant. Les discussions ont porté sur le taux d’imposition. Il sera conforme aux taux d’imposition courant pour la population, variant en fonction du nombre d’enfants, du domicile,etc. Donc, en clair, le prince Laurent qui perçoit chaque année un bon 307.000 euros pour ses activités officielles sera soumis à l’impôt pour un tiers de cette somme: 100.000 euros, sur lesquels il pourrait être taxé jusqu’à 50%: 50.000 euros. Encore existe-t-il sans doute des solutions en matière de frais pour réduire la ponction fiscale. Sa soeur, la princesse Astrid, sera soumise au même régime mais n’est pas logée à la même enseigne ! Son époux, le prince Lorenz, rapporterait jusqu’à 4 millions d’euros de revenus par an dans le ménage grâce à ses activités bancaires florissantes en Suisse. Pas de ça chez le prince Laurent, même si la princesse Claire a déclaré en son temps qu’elle aimerait reprendre un jour du service en qualité de géomètre-expert. Les ducs de Brabant se verraient quant à eux taxés sur quelque 300.000 euros de leur budget de fonctionnement, encore que cette taxation-là reste toute théorique, puisque vraisemblablement leur statut professionnel, et donc fiscal devrait évoluer favorablement ces prochains mois (#abdication #vivelaretraitepourbebert #philroidumondechezmickey).
Par ailleurs, grâce à nos confrères du Soir, on a appris que la reine Fabiola devrait voir sa “dotacion” ramenée à 500.000 euros l’an prochain, venant d’un million cette année, et 1,4 million euros les années précédentes. Les récentes révélations sur ses fondations privées l’ont visiblement desservie dans cette affaire…
Stéphane Bern décoré en présence de Laurent et Claire
7/03/13
Le journaliste, écrivain et producteur français a été décoré du titre d’Officier de l’Ordre de Léopold par le ministre des Affaires étrangères Didier Reynders, en présence de plusieurs membres de la Famille royale: le prince Laurent, la princesse Claire, la princesse Esmeralda et la princesse Alexandre de Belgique.
Stéphane Bern nous a livré un magnifique discours prouvant à ceux qui en doutaient son attachement profond pour notre pays et notre monarchie, lui qui en est en manque comme de pain dans l’Hexagone. Notre cher confrère, luxembourgeois par sa mère, est tombé dans la marmite royale tout jeune. Ne fut-il pas, à 16 ans, l’un des hôtes du château de Versailles, comme le rappelait Didier Reynders dans son allocution ? Depuis lors, émissions à succès sur les antennes de TF1 et France 2, livres best-sellers, articles de fond dans le Figaro mais aussi dans un bon nombre d’hebdos, commentaires d’événements royaux tant sur France 2 que sur RTL-TVI ont rendu le personnage très populaire en France et chez nous. Avec raison car, et c’est suffisament rare dans le métier pour le signaler, Stéphane Bern a su rester simple et accessible. Un vrai gentil dans un monde de requins. Dans son propre discours de remerciements, Stéphane Bern a rappelé combien notre pays avait besoin de sa Famille royale, plus que jamais symbole d’unité et ciment de la Nation. Des propos qui ont été appréciés par le prince Laurent et la princesse Claire ainsi que les princesse Esmeralda et Alexandre de Belgique. Sous les applaudissements nourris de l’assemblée dans laquelle se trouvaient bon nombre de royalty watchers de chez nous (dont Gérald Watelet et Thomas de Bergeyck), Stéphane Bern a été décoré du titre d’Officier de l’ordre de Léopold, avant d’être reçu à déjeuner par le ministre des Affaires étrangères.
Laurent: un hématome interne à proximité du foie
20/02/13
“Le prince Laurent de Belgique souffre d’un hématome interne à proximité du foie, qui fait suite à un accident de ski survenu en Autriche”, a indiqué mercredi matin Bruno Nève de Mévergnies, porte-parole du Palais royal. “Le Prince est toujours hospitalisé et placé en observation”, précise le porte-parole du Palais.
Comme nous vous l’expliquions, le prince Laurent a été victime d’un accident de ski mardi après-midi. Il a été admis à l’hôpital universitaire d’Innsbruck en Autriche. Le jour de sortie est encore incertain. “Tout dépend de l’évolution de l’état de santé du Prince qui pourrait quitter rapidement le centre hospitalier”. Le prince Laurent, qui a passé la nuit dernière en observation, doit subir des examens complémentaires mercredi. Les médecins décideront ensuite quand il pourra quitter l’hôpital. “Ce sera au plus tard vendredi”, avait expliqué le porte-parole de l’hôpital universitaire d’Innsbruck, Johannes Schwamberger.
Blessé, Laurent devrait quitter l’hôpital vendredi au plus tard
20/02/13
Du boulot pour le prince Laurent !
11/02/13
Comme les dotations princières sont menacées, avec le concours de references.be, nous avons analysé le C.-V. du Prince et dégagé des pistes pour lui donner un avenir professionnel.
Jamais sans doute la princesse Astrid et le prince Laurent n’ont été aussi près de perdre leur dotation. Non que la fille du Roi ait démérité en quoi que ce soit en 20 ans de bons et loyaux services aux côtés du Souverain. Nous n’épiloguerons pas longtemps sur l’affaire Fons Pereos, la fondation privée de la reine Fabiola, qui a déclenché un tollé général dans l’opinion politique, médiatique et donc publique, surtout quand cette dernière a appris que la veuve du roi Baudouin a perçu 27 millions d’euros ces 20 dernières années pour des activités officielles de plus en plus épisodiques. Nous ne nous attarderons pas sur les contacts supposés ou avérés que le prince Laurent entretiendrait avec moult diplomates angolais ou issus d’autres plaisantes démocraties africaines. Mais la population a ses humeurs, et pour l’heure, elle est plutôt remontée contre la famille royale. Ce alors que les partis de la majorité au niveau fédéral se préparent à faire voter la réforme des dotations royales à la Chambre, sur base des recommandations du Sénat. Pour rappel, seuls le prince héritier, le roi abdicataire, le conjoint veuf du souverain devraient désormais recevoir une dotation, les autres altesses royales étant obligées de travailler pour subvenir à leurs besoins. Un statut transitoire était prévu pour la princesse Astrid et le prince Laurent, puisqu’une dotation leur a été octroyée pendant un vingtaine d’années pour compenser le fait qu’ils ne pouvaient exercer d’activités rémunérées par ailleurs. las, les dernières polémiques mettent du plomb dans l’aile de cette mesure.
Sur le marché du travail à 50 ans
Bien sûr, en cas de supression de dotation, la princesse Astrid ne sera pas à la rue. Son époux est un homme d’affaires d’envergure, copropriétaire de la banque Gutzwiller à Bâle en Suisse, une banque d’affaires qui lui rapporterait plusieurs millions d’euros par an. Il est également membre du conseil d’administration de plusieurs grandes entreprises comme BNP Paribas et GDF Suez. Le couple et leurs cinq enfants jouissent en outre de la villa Schönenberg, un petit château avec piscine intérieure construit rien que pour eux par la Donation royale juste à côté du château du Stuyvenbergh où demeure Tante Fabi. Laurent, quant à lui, est également logé aux frais de la princesse dans sa villa Clémentine située à Tervuren. Mais son épouse, la princesse Claire, a abandonné son travail de géomètre-expert pour élever leurs trois enfants, la princesse Louise et les jumeaux Aymeric et Nicolas. S’il devait perdre sa dotation à 50 ans, ce serait donc une véritable catastrophe pour le fils cadet du Roi. Même si l’on imagine qu’avec une vingtaine de prestations annuelles officielles recensées, il est sans doute arrivé à mettre de côté une belle partie de sa dotation annuelle de 307.000 euros non imposée. Cela dit, nous avons pris les devants et imaginé quel travail le Prince pourrait exercer s’il arrivait sur le tard sur le marché de l’emploi. Nous avons recouru pour ce faire à l’expertise du rédacteur en chef de References.be, Rafal Naczyk.
«J’ai examiné le Curriculum Vitae du Prince et analysé pour lui les réalités économiques du marché de l’emploi. Il n’a clairement pas du tout le profil d’un salarié. Mais il part avec de gros avantages, de par son nom et son statut de prince de Belgique, il dispose d’un réseau de contacts immense. et en plus, il est charismatique.» Malgré toutes ses frasques, «il reste extrêmement populaire. ce qui laisse supposer qu’il pourrait exercer le rôle d’un cadre supérieur, d’un grand manager, voire d’un capitaine d’industrie et démarrerait tout en haut de la hiérarchie.»
Notre spécialiste voit trois pistes très sérieuses pour le prestigieux candidat travailleur.
1.Dans un conseil d’administration
Intégrer le conseil d’administration/le board opérationnel d’une grande entreprise (une fonction représentative et très relationnelle, avec un revenu mensuel net de 7.000 à 13.000 euros. Ce que fait son beau-frère le prince Lorenz et bon nombre d’autres personnalités issues de la noblesse et détentrices d’un carnet d’adresses imposant. Le travail est assez réduit, la présence est souvent symbolique et les émoluments confortables.
2.Devenir consultant
Utiliser ses connaissances antérieures et devenir consultant indépendant sur les thématiques et enjeux environnementaux, la gestion des ressources naturelles et la promotion des technologies propres. «Un peu ce que veut faire Sarkozy, ou ce que font Bill Clinton ou Tony Blair», reprend Rafal Naczyk. «Eux peuvent facturer quelque 20.000 euros la conférence. Le prince Laurent est certes moins connu qu’eux internationalement, mais je le verrais bien pouvoir facturer chaque prestation 10.000 euros.»
3.Créer sa propre entreprise
Se lancer en tant qu’entrepreneur, dans le secteur des technologies propres. Avec des exportations à destination des pays BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud. «C’est, selon moi, la piste la plus réaliste: non seulement, il possède déjà un capital de départ, mais vu son carnet d’adresses, il pourra avoir très facilement accès à des investisseurs. Autre argument: s’il crée une entreprise de pointe en Belgique, il relocalise l’emploi. C’est donc une manière de se rendre utile aux citoyens, à la société et à l’économie du pays. Là, si sa boîte marche plutôt bien, il peut espérer des revenus comparables à ce dont il bénéficiait jusqu’à présent avec sa dotation.»
Les derniers conseils du pro
«Désormais, les contacts professionnels se prennent sur le Web. La présence numérique est incontournable tant pour les recruteurs que pour les entreprises et les candidats. Le hic, c’est que le Web n’oublie rien. Vu la quantité d’articles ravageurs à son égard, le Prince doit impérativement soigner son e-réputation, son ombre numérique. Pour valoriser son profil, il peut soit faire appel à un pompier du web ou une entreprise spécialisée dans la gestion de l’identité numérique, soit il doit se montrer sur les réseaux et y être actif. En participant à des forums, blogs, en ciblant les prises de contact. Mais aussi en plaçant en tête d’affiche les éléments les plus valorisants de son profil pour qu’en tapant son nom sur le Web un recruteur tombe immédiatement dessus.»
Le prince explorateur
Bien évidemment, rien n’empêche le Prince de cumuler les trois métiers que nous lui proposons. En tant que Prince et chef d’entreprise, Laurent pourrait être amené à faire des conférences très prisées et être par ailleurs sollicité pour intégrer l’un ou l’autre big board… que du bénéfice! En demandant l’analyse du spécialiste de l’emploi qu’est Rafal Naczyk, nous nous rendons compte par ailleurs que le Prince a de sa propre initiative, entamé des démarches dans le même sens. Si son IRGT (institut des technologies propres) est mort avec l’arrêt de financement des trois Régions, il a créé plusieurs sociétés liées au développement de ces technologies propres. C’est d’ailleurs justement pour développer ces dernières qu’il a pris des contacts touchy avec des diplomates angolais ou s’est rendu en Libye. Lui tailler un statut sur mesure qui l’éloigne du trône mais lui donne le champ libre pour mener ses affaires semble être la solution la plus opportune. De toute façon, il est douzième dans l’ordre de succession au trône, alors à moins d’une hécatombe dans les rangs de la famille royale, il est peu probable qu’il soit amené à jouer le rôle de chef d’État. Et puis, baliser la route pour lui et lui permettre de prendre sa place d’homme parmi les autres hommes, comme l’expliquait son conseil, Me Pierre Legros, c’est aussi donner un avenir aux autres nombreux membres de la famille royale à venir sur le marché du travail.
Laurent: “Si ma soeur peut se passer de dotation, pas moi !”
28/01/13
La princesse a déclaré en “off” à un journaliste flamand qu’elle se rangerait à l’avis du Parlement sur sa dotation. Son frère précise, entre les lignes, qu’il ne peut se passer de dotation.
L’affaire de la fondation privée de la reine Fabiola n’en finit pas de faire des vagues, même après l’annonce de sa dissolution. Avec comme conséquence, une prochaine révision complète du système des dotations publiques octroyées aux membres de la famille royale. Plus de contrôle, plus de transparence, mais aussi le risque pour la princesse Astrid et le prince Laurent de perdre leur dotation. Le prince Laurent a réagi dimanche soir, aux quotidiens de Sudpresse, à la déclaration de sa soeur, la princesse Astrid, qui a déclaré en “off” à un journaliste de VTM qu’elle acceptera « toute décision du gouvernement et du Parlement concernant sa dotation ». « Si ma soeur peut se le permettre, je suis ravi pour elle », a-t-il répondu. « Vous savez, moi, je ne suis pas de ces personnes qui jalousent ceux qui ont les moyens », a-t-il ajouté, avant de confier que tout ce que l’on raconte sur lui est « faux ».
Il faut le rappeler, la princesse Claire a choisi de renoncer à son travail de géomètre-expert pour élever leurs trois enfants et accomplir des apparitions publiques en qualité de princesse de Belgique, le couple ne dispose “que” de la dotation de Laurent, 307.000 euros pour vivre tout en assurant ses frais de représentation pour ses apparitions publiques. Le mari d’Astrid, quant à lui, travaille et dispose même d’importantes ressources financières. Le prince Lorenz est en effet co-propriétaire d’une banque d’affaires à Berne en Suisse et détient plusieurs mandats d’administrateurs dans d’importantes sociétés belges et étrangères.
Mais il faut tout de même rappeler que si, à l’origine, une dotation a été octroyée aux Princes, c’était non seulement pour financer les frais de leur représentation publique, mais aussi pour compenser le fait qu’il leur était impossible d’exercer une autre profession en sus. On considérait alors qu’il n’était pas raisonnable que des membres de la Famille royale représentent le pays tout en poursuivant des affaires privées de leur côté.
Les temps ont changé visiblement…
Le prince Laurent se défend sur l’Angola
17/01/13
Les avocats de Laurent ont réagi rapidement et démontent les affirmations du “Morgen”
Le prince Laurent “agit dans le respect de l’engagement qu’il a pris à l’époque à l’égard du gouvernement”, ont indiqué jeudi dans un communiqué les avocats du prince. Ils
tiennent ainsi à apporter des corrections et des précisions sur des projets environnementaux du fils du roi en Angola rapportés jeudi par la presse. Pour rappel, et comme nous l’évoquions dans un poste précédent, le prince Laurent a eu des contacts à Bruxelles avec des diplomates angolais sur des projets d’énergie renouvelable développés par la fondation du Prince, selon le journal “De Morgen”. Le gouvernement et le palais n’étaient pas au courant des démarches du Prince, affirme le journal, évoquant en outre une offre globale en matière d’énergie renouvelable pour la capitale Luanda.
Selon les avocats du Prince, “aucune offre globale en matière d’énergie renouvelable pour la capitale de l’Angola (Luanda) n’a été proposée, transmise ou formulée. Aucun projet concret n’a été proposé ni discuté.” Après sa visite au Congo et en Angola en 2011, et ses rencontres avec des représentants des rebelles libyens, l’ancien Premier ministre Yves Leterme (CD&V) avait fait signer un document au fils cadet d’Albert II, dans lequel le Prince promettait d’informer le gouvernement de ses activités, sous peine de perdre sa dotation de quelque 300.000 euros. Selon ses avocats, “le Prince agit dans le respect de l’engagement qu’il a pris à l’époque à l’égard du gouvernement. Le gouvernement belge a ainsi été informé du déplacement du Prince à Rio (où Laurent avait formulé un discours sur le développement durable) et ne s’y est pas opposé.”
Le prince Laurent va-t-il perdre sa dotation ?
17/01/13
Il a eu des contacts avec des diplomates angolais pour un projet d’énergie renouvelable. Mais ni le palais, ni le gouvernement n’ont été prévenus !
Selon nos confrères du journal flamand “De Morgen”, le prince Laurent a récemment eu des contacts avec des diplomates angolais. La rencontre s’est faite à Bruxelles. L’Angola serait intéressé par les projets en matière d’énergie renouvelable que le Grect, la fondation du Prince, propose. Le problème, c’est que ni le Palais royal, ni le Premier ministre, ni les Affaires étrangères, ni aucun membre du gouvernement fédéral n’a été prévenu de cette rencontre, ni d’éventuels projets du Prince dans ce pays. Or, après l’affaire du voyage au Congo, le Prince s’était engagé à signer une charte, une sorte de code de bonne conduite, l’obligeant à informer les autorités en cas d’initiatives de ce genre, sous peine de perdre sa dotation annuelle fixée actuellement à 307.000 euros. D’aucuns y voient après la polémique de la fondation privée de la reine Fabiola, sanctionnée par un rabot de 500.000 euros de la dotation de la veuve du roi Baudouin, un risque sérieux cette fois pour le Prince de perdre son revenu.
« Ça concerne une offre globale en matière d’énergie renouvelable pour la capitale Luanda. Rien n’a pour l’instant été signé », précise Alex Tallon, le liquidateur du Grect, la fondation dont le prince Laurent est fondateur et président.