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Mathilde et Elisabeth: mère et fille étaient de sortie !
30/03/18
La princesse Elisabeth accompagnait la Reine mercredi à Louvain. Elles ont assisté à un spectacle de danse
Le Palais royal a diffusé sur ses réseaux sociaux trois photos de la Reine en visite à Louvain mercredi dernier. Surprise, la Souveraine était accompagnée de sa fille aînée, la princesse Elisabeth. L’héritière présomptive du Trône, âgée de 16 ans, va étudier dès l’année prochaine au Pays de Galles. En attendant, sa maman a décidé de profiter de chaque minute de sa présence. Elle l’avait ainsi invitée à l’accompagner ce 28 mars en soirée au Stadsschouwburg de Louvain, le théâtre de la ville universitaire, où toutes deux ont assisté à un spectacle de danse de la célèbre chorégraphe belge Anne Teresa De Keersmaeker. Sa compagnie, Rosas, dansait sur les suites pour violoncelle de Bach interprétées par Jean-Guihen Queyras.
Lilian, entre ombre et lumière
29/12/15
Après une gifle sonore en plein restaurant, sa mère le lui avait prédit: «Ma petite, tu ne sais pas ce qui t’attend. Ce sera effarant: ils vont se déchaîner contre toi. Tu auras une vie terriblement dure.» De fait, Lilian Baels est la femme par qui le scandale est arrivé, la briseuse de mythes. En se mariant, en pleine guerre, avec le roi Léopold III, veuf de l’iconique reine Astrid, la jeune femme de 24 ans a scandalisé une grande partie de la population. Devenue princesse de Rethy, elle a aussitôt acquis, et pour le reste de sa vie, le titre de personnalité la plus honnie de la famille royale, sinon la plus détestée du Royaume. Pour Olivier Defrance: «Lilian Baels est pourtant avec la reine Élisabeth, l’une des deux personnalités les plus importantes de la famille royale au XXe siècle. Entre 1941 et 1960, elle fut la véritable souveraine de cette famille!»
Des archives privées exceptionnelles
L’historien publie Lilian et le Roi aux éditions Racine, une biographie de la princesse de Rethy, fruit de longues années de recherche, d’innombrables rencontres avec les personnes qui ont bien connu le couple sulfureux… à commencer par la princesse Lilian elle-même! Une entrevue fascinante qu’Olivier Defrance nous fait vivre au plus près, démontrant pour l’occasion d’indéniables talents de conteur. Mais l’historien, spécialisé dans l’histoire de la monarchie belge et auteur de plusieurs livres (dont Léopold Ier et le clan des Cobourg) a également pu consulter des documents inédits exceptionnels. À l’instar de la princesse Esmeralda de Belgique, qui n’a pas hésité à ouvrir les archives familiales pour Olivier Defrance (lire par ailleurs), d’autres membres de la famille, des amis ou de l’entourage de Lilian et Léopold lui ont confié lettres, notes, journaux, photographies. Ce qui lui a permis d’assembler, fil après fil, l’écheveau d’une existence à jamais envoûtante, «sans complaisance ni acharnement», précise l’auteur. Il ne s’agissait pas de réhabiliter une personnalité – «il n’y a rien à réhabiliter!», assénera d’ailleurs l’une de ses sources – mais bien de dresser le portrait le plus fidèle possible de la Princesse dans ses bons et ses moins bons côtés, bref dans toute son humanité. Olivier Defrance: «Lilian était une femme charmante, fascinante, un personnage solaire, véritable centre de la famille royale à l’époque. Elle faisait aussi preuve d’une grande culture et était une excellente conteuse, avec le danger d’en rajouter parfois. Et avec comme revers de se montrer intrusive. Elle voulait tout contrôler et faisait preuve d’un caractère dominateur. Comme nombre de reines (Élisabeth, Fabiola, Paola) que le pays a connues, Lilian n’était pas une personnalité effacée, mais avait plutôt un caractère affirmé, parfois difficile, colérique, sinon un tempérament volcanique. Pendant toute la période de la guerre, elle fut extrêmement proche de Léopold et les hommes politiques qui ont rendu visite au Souverain sont souvent tombés des nues en voyant le rôle important qu’exerçait Lilian à ses côtés. Elle aurait été une parfaite reine des Belges, sur le plan des rapports humains, de l’accueil des chefs d’État ou dans le caritatif. Mais elle avait une vision très Ancien Régime du rôle. S’il fallait analyser l’Histoire en blanc ou noir, Lilian serait définitivement et complètement grise.»
Les amis pronazis
Dans cette biographie passionnante qui se lit comme un roman, on découvre les années viennoises de la jeune femme, qui démontre très tôt un goût pour l’indépendance et la modernité (elle portait des pantalons!) À la moitié des années 30, Lilian séjourne en effet régulièrement en Autriche, dans les stations de sports d’hiver où elle rencontre le futur Juan Carlos d’Espagne et sympathise avec le clan Kennedy. À Vienne, elle se lie avec les princes de Windisch-Graetz, issus de la haute-noblesse autrichienne, notamment le premier flirt de Lilian, Friedrich, surnommé Fritzi, qui fréquente les jeunesses hitlériennes et deviendra membre du Parti Nazi en 1938. On découvre également le premier amour de Lilian, le comte Peter Draskovich, fils d’un membre de la Chambre Haute de Hongrie et presque sosie de l’acteur Curd Jürgens. Olivier Defrance publie une partie de la correspondance enflammée que s’échangent les deux amoureux. Il décrit aussi ces amours contrariées tuées dans l’œuf par les différences de condition sociale entre ce jeune homme de noble origine et la fille de Henri Baels, alors gouverneur de Flandre occidentale et ancien ministre belge, mais roturier. On découvre aussi le couple Khuen-Lützow, la mère et le beau-père de Peter, eux aussi d’ardents nazis sans doute par opportunisme. Defrance cite Teddy Le Ghait, ami des Baels mais politiquement à gauche: «Il serait inexact de dire que Lilian avait des tendances pronazies mais comme beaucoup de nos compatriotes à l’époque, elle avait à l’égard de l’Allemagne une mentalité d’appeaser (en relation avec la politique d’apaisement avec l’Allemagne nazie prônée par une partie du monde politique britannique à la fin des années 30.)» Defrance d’ajouter: «Le milieu dans lequel évolue Lilian lorsqu’elle se trouve en Europe centrale est sensiblement pronazi et cela n’a pas l’air de la gêner.»
Voyage de noces à travers le Reich
Olivier Defrance raconte par le menu les différentes premières rencontres de Lilian Baels avec le prince Léopold devenu ensuite Léopold III et rapidement le Roi veuf. Lettres et notes à l’appui, il confirme le rôle déterminant de la reine Élisabeth dans cette idylle qu’elle voyait comme une occasion de distraire le Roi de ses soucis. Mais si elle encourageait un mariage religieux (célébré le 11 septembre 1941), en aucun cas elle ne voulait qu’il soit rendu public pendant la guerre (il le sera pourtant quelques mois plus tard, en décembre 1941 avec l’annonce du mariage civil. Bien obligé, Lilian était enceinte du futur prince Alexandre!) Élisabeth avait bien senti tout le danger pour la réputation de son fils. Car à cette époque, le Roi est prisonnier des Allemands. Il a préféré rester au pays et partager le sort de son peuple après la fâcheuse campagne des 18 jours et la capitulation belge, se fâchant du même coup avec le gouvernement en fuite à Londres. S’il est brouillé avec les politiques, la population lui gardait jusqu’alors une estime intacte et prodigieuse, bien aidée par son statut de roi veuf et inconsolé. Elle n’apprécierait pas ses escapades amoureuses au Zoute en pleine occupation, et encore moins son voyage de noces accepté avec la plus grande facilité par l’Occupant, d’abord à Paris puis en Autriche (Olivier Defrance a retrouvé les ausweis !) «Si, en 1945, les Belges avaient appris ce voyage en pleine guerre dans le Reich, sous le nom de comte et comtesse Gotenburg, résidant à Berlin, la Question royale aurait été réglée bien plus tôt!» Bien qu’ignorant ces deux faits, la population est tout de même choquée par l’annonce de ce mariage. Il prouve aussi que Léopold III n’est pas un détenu comme les autres. Le Roi est prisonnier du Reich certes, mais un prisonnier VIP! Pour preuve, le contenu du télégramme de félicitations adressé par Hitler! De même, la déportation de la famille royale en Allemagne, puis en Autriche, si elle fut à n’en pas douter traumatisante psychologiquement, s’est quand même effectuée dans des conditions matérielles bien plus confortables qu’attendu. Si les membres de la famille royale devaient séjourner dans la forteresse de Hirschtein (à deux par chambre, terrible!), le Roi était autorisé à pêcher sur l’Elbe, tout comme la famille royale pouvait se balader en voiture! On notera cet épisode troublant où le petit prince Albert (futur Albert II) est soigné par le sinistre Dr Gebhardt, le médecin particulier de Himmler, qui dirigera des expériences horribles sur les cobayes humains que constituaient les prisonniers des camps de Ravensbrück et d’Auschwitz!
Lilian au secours de son père
Cette biographie révèle aussi le rôle déterminant et la pugnacité avec laquelle Lilian va défendre son père et réhabiliter son honneur. Au soir de la Capitulation belge le 28 mai 1940, le gouverneur de Flandre occidentale est révoqué pour abandon de poste. Il est en effet parti en France avant même que l’armée allemande pénètre dans sa province! Le gouvernement a motivé sa révocation et le Roi l’a même signée. Mais Lilian va tellement bien œuvrer que toute trace de cette révocation va disparaître des archives officielles!
Une autre raison de la rupture
«Dans ce livre, je démontre aussi que, monté sur le Trône à la suite de l’abdication de son père, le roi Baudouin avait envisagé la possibilité de lui donner un nouveau rôle à jouer, ainsi qu’à la princesse Lilian», explique Olivier Defrance. «En 1957, alors que se profile l’Indépendance du Congo belge, Baudouin est persuadé que la monarchie belge a encore sa place dans le Congo indépendant, envisageant peut-être, à l’instar d’Elizabeth II et du Commonwealth, de nommer Léopold III comme vice-Roi, avec son épouse à ses côtés. Dans les lettres que j’ai pu consulter on découvre un Baudouin littéralement obsédé par sa belle-mère, presque un amoureux transi. Même si je suis sûr que rien ne s’est jamais passé entre eux, car Lilian était très amoureuse de son Léopold.» L’ambiance va changer du tout au tout quelques années plus tard. «Le couple connaît une crise d’envergure en 1961, allant presque jusqu’au divorce, lorsque Lilian découvre que Léopold a une maîtresse depuis cinq ans.» Cette situation aurait contribué à la situation de rupture entre Laeken et Argenteuil, où Léopold et Lilian se sont installés suite au mariage de Baudouin avec Fabiola. Cette dernière, très religieuse, voyant d’un mauvais œil cette belle-mère divorcée et mauvaise chrétienne. La rupture est consommée et sera effective presque jusqu’à la mort du roi Baudouin. Le couple, lui, tient finalement bon, même si les papiers du divorce étaient prêts. Lilian et Léopold se sont retrouvés grâce à l’influence d’une religieuse. Ce qui n’est pas sans évoquer la situation d’Albert et Paola quelques années plus tard. L’histoire ne serait-elle qu’un éternel recommencement?
Lilian et le Roi, par Olivier Defrance, éd. Racine, 336 p.
La princesse Elisabeth est marraine !
6/05/15
La duchesse de Brabant, entourée du couple royal, a accompli une nouvelle activité officielle ce mercredi: elle a baptisé son premier bâtiment militaire !
La cérémonie officielle s’est déroulée à la base navale de Zeebruges. Si le couple royal était présent, la princesse Elisabeth fut vraiment au centre de toutes les attentions ce mercredi après-midi. En effet, la duchesse de Brabant est venue procéder au baptême du patrouilleur P902 Pollux, le second patrouilleur mis à l’eau par la Composante maritime belge… après le Castor bien sûr, dont la marraine est… la reine Mathilde !
Elisabeth, habillée d’une robe courte et d’un “bijou de tête” de la créatrice Fabienne Delvigne, s’est acquittée de sa tâche avec toute la dignité qui incombe à ce genre d’événement.
Profession des parents: princes du Royaume-Uni !
5/05/15
Le formulaire de naissance de la petite princesse Charlotte a été diffusé. Les infos sont logiques mais peu communes…
Le Palais royal britannique vient de diffuser le formulaire de naissance rempli par les parents de la petite princesse Charlotte de Cambridge. On peut donc y lire les prénoms, noms et titres complets du bébé et de ses parents ainsi que leur adresse officielle, Kensington palace, même s’ils résideront dans un premier temps dans leur “cottage” de Anmer Hall. On peut aussi voir la profession exercée par William et Kate, à savoir prince et princesse du Royaume-Uni. C’est tout à fait exact, mais avouons que c’est tout de même peu commun de le lire…
Quelle star ce Baby George !
16/12/14
William et Kate ont fait diffuser de nouvelles photos de leur petit prince… qui est tout simplement irrésistible !
Le duc et la duchesse de Cambridge, qui attendent une deuxième naissance pour le mois d’avril, ont entretemps dévoilé de nouveaux clichés de leur premier enfant, George de Cambridge. Avouons que le petit bambin, âgé de 17 mois, a la frimousse plutôt sympathique à vous faire fondre toutes les mères en ce bas-monde. Lors de cette séance photo réalisée dans une des cours du palais de Kensington, le petit prince gravure de mode porte un pull tricoté dont les motifs représentent la garde royale. L’heureuse marque qui a réalisé cette oeuvre devrait rapidement voir ses stocks dévalisés…
Une sucette pour le prince Laurent
29/11/14
La princesse Léa a fait le clown pour la bonne cause au cirque Bouglione. Le frère cadet du Roi était présent en famille. Pour le meilleur et pour le rire !
Ce vendredi 28 novembre, Alexandre Bouglione avait mis la moitié des places de son cirque en vente au profit du Fonds Prince et Princesse Alexandre de Belgique qui, cette année, soutient plusieurs associations s’occupant d’enfants souffrant de la maladie de Down (Trisomie 21). Le spectacle s’est déroulé devant une foule d’enfants et de nombreuses personnalités, dont le baron Toots Thielemans. Le prince Laurent, la princesse Claire, ainsi que leurs trois enfants, la princesse Louise et les princes Aymeric et Nicolas, avaient pris place dans la loge d’honneur. Les trois petits bouts ont d’ailleurs été sollicités sur scène, à leur plus grande joie, lors du numéro des perroquets et perruches. Le prince Laurent s’est contenté quant à lui de savourer quelques friandises offertes par les sponsors de la soirée… dont une délicieuse sucette! (Il n’y a pas d’âge pour en profiter)
En guise de clou du spectacle, la princesse Léa elle-même ! La belle-soeur d’Albert II s’était déguisée en clown pour un numéro de lancer de couteau. Il s’agissait surtout de rendre hommage aux amis du cirque Bouglione à qui elle a offert un superbe gâteau de la maison Wittamer. Et, bien sûr, elle a eu une petite pensée émue pour son cher époux disparu, le prince Alexandre, décédé jour pour jour il y a cinq ans, le 29 novembre 2009.
Charlène accouchera plus tôt que prévu !
19/11/14
À l’occasion de la Fête nationale monégasque, Albert a annoncé que la naissance des jumeaux était prévue pour la mi-décembre. Et on a pu voir que la princesse Caroline ne lâchait pas son petit-fils, le tout beau Sacha, d’une semelle !
À un mois du terme de sa grossesse, la princesse Charlène était tout de même au côté de son époux ce mercredi 19 novembre, jour de Fête Nationale en Principauté de Monaco, pour saluer la population du haut du balcon du palais princier. En ce jour de fête, son époux, le prince Albert, s’est exprimé dans la presse locale et a confié aux journalistes de Monaco-Matin que la naissance des jumeaux princiers, annoncée aux alentours de Noël, aurait plus vraisemblablement lieu dix jours plus tôt, soit vers la mi-décembre, en raison justement de cette grossesse gémellaire. Au sortir de la messe d’action de grâce célébrée en la cathédrale de Monaco, le Prince Souverain était toutefois en solo, et ses soeurs Caroline et Stéphanie, accompagnées de certains de leurs enfants. Andrea Casiraghi était venu avec son épouse Tatiana, ainsi que leur petit Sacha. Que sa très fière grand-mère, la princesse Caroline, n’ a quitté des yeux à aucun moment ! Pierre Casiraghi était également présent tout comme la jeune princesse Alexandra, la cadette de la fratrie. Par contre, point de Charlotte sur le Rocher, son conjoint Gad Elmaleh et leur petit Raphaël n’ont pas davantage montré le bout du nez.
La fille de Caroline reine du patin
25/09/14
La princesse Alexandra de Hanovre, la fille de la princesse Caroline de Monaco, a participé à l’événement “Intimissimi” un opéra-pop version patinage artistique.
Dans les arènes de Vérone transformées pour deux soirs en vaste piste de glace, les spectateurs attentifs ont pu reconnaître parmi les patineurs du spectacle Intimissimi rien moins que la princesse Alexandra de Hanovre, la fille de la princesse Caroline de Monaco et du prince Ernst-August. Comme l’an dernier, la jeune adolescente née en 1999, patineuse émérite, a participé à cet opéra-pop sur glace, tout comme elle dispute régulièrement les compétitions junior de patinage artistique. En mars 2014, elle avait d’ailleurs remporté le 13e championnat de patinage de Monaco.
La princesse Charlène a retrouvé son arbre
30/07/14
L’arbre généalogique de la princesse du Rocher remonte à seize générations. Si Albert de Monaco a des origines irlandaises, Charlène aussi. Elle descend d’une grande famille de marchands de Dublin…
L’Ambassadeur d’Irlande en France et à Monaco, Rory Montgomery, a offert un cadeau un peu particulier à l’épouse du Souverain monégasque. Ce mardi 29 juillet, il a remis à la princesse Charlène son arbre généalogique établi sur 16 générations. Alors que les ascendances irlandaises du prince Albert II sont bien connues (sa mère, la princesse Grace était du clan Kelly), les recherches organisées par “Tourism Ireland” ont mis au jour que la princesse Charlène, née en Afrique du Sud, avait, elle aussi, des ancêtres irlandais. En effet, de par son ascendance paternelle, la sylphide altesse sérénissime appartient à la lignée des Fagan de Feltrim, une célèbre famille de marchands qui a largement contribué au développement de la ville de Dublin aux XVIe et XVIIe siècle. Qu’on se le dise…
Voici la petite princesse Amalia (photos)
16/06/14
Le palais grand-ducal a diffusé les toutes premières photos de la plus jeune des princesses luxembourgeoises. Elle est mignonne comme tout, la petite fée de Félix et Claire!

Premières photos d’Amalia entourée de ses parents princiers.
© 2014 Cour grand-ducale / Collection privée / tous droits réservés

Premières photos d’Amalia entourée de ses parents princiers.
© 2014 Cour grand-ducale / Collection privée / tous droits réservés

Premières photos d’Amalia entourée de ses parents princiers.
© 2014 Cour grand-ducale / Collection privée / tous droits réservés

Premières photos d’Amalia entourée de ses parents princiers.
© 2014 Cour grand-ducale / Collection privée / tous droits réservés

Premières photos d’Amalia entourée de ses parents princiers.
© 2014 Cour grand-ducale / Collection privée / tous droits réservés
Nous vous l’annoncions, le prince Félix de Luxembourg et son épouse Claire sont les parents depuis hier d’une toute mignonne petite princesse. La naissance d’Amalia, Gabriela, Maria Teresa a été officialisée par un communiqué émanant du Palais grand-ducal qui précise qu’Amalia pèse 2,950 kilogrammes pour 50 cm. Née au Luxembourg, Amalia vivra avec ses parents Félix et Claire dans le Sud de la France, où le couple est désormais à la tête d’une exploitation viticole familiale.